Depuis, je n’ai plus bu

Faveurs reçues du fondateur de l’Opus Dei

J’avais pris l’habitude de beaucoup boire et à soixante ans, j’ai voulu changer mais j’ai cru que ce ne serait pas possible. Un jour j’ai été poussé à demander la sobriété à saint Josémaria. Je ne savais pas bien ce que ce mot voulait dire. Moins d’une semaine après, j’ai réalisé que ma prière avait été entendue. En effet, cela s’est fait par étapes à commencer par mon assistance à une retraite spirituelle à la fin de cette semaine-là. Par la grâce de Dieu, quinze ans après, je suis devenu quelqu’un de sobre qui n’a plus bu depuis ce jour-là.

Avec tous mes respects.

E.M. U.S.A

28 décembre 2005

Un travail et avant la fin de l’année…

Encore aujourd’hui, je n’arrive pas à croire ce qui m’est arrivé. J’étais désespérée parce que je n’arrivais pas à décrocher un travail. Début décembre, j’ai été convoquée à Lima (j’habite Piura) et j’ai décidé d’aller à un entretien d’embauche. Après deux séances, je suis rentrée à Piura : on ne m’avait pas convoquée pour les autres épreuves de sélection. Dans ce voyage de retour, j’ai décidé de commencer une neuvaine à saint Josémaria sur-le-champ. Je savais qu’il allait vraiment m’aider puisque, quelques années auparavant, il m’avait accordé la grâce que je lui avais demandée pour ma sœur. Ceci dit, je lui ai demandé de me procurer un travail et … avant la fin de l’année… s’il vous plaît ! Je savais que c’était impossible, puisque nous étions déjà en décembre et que les processus d’embauche sont souvent très longs.

J’étais au septième jour de ma neuvaine lorsqu’un cousin m’a appelée. Il m’a parlé de l’entreprise de télécommunications qu’il était en train de monter. Il avait besoin de quelqu’un de confiance pour gérer cette affaire. Il avait lancé un appel à candidature et parmi celles qu’il avait reçues, il y avait la mienne. Il n’avait donc plus besoin de chercher ailleurs, le travail était pour moi. Pendant mon absence à Lima, mon papa avait vu l’annonce sur le journal et avait envoyé mon c.v.

Je travaille donc pour mon cousin depuis deux semaines et je viens d’être sollicitée pour le poste cherché à Lima. Il est demandé un très bon état de santé avec certificat médical… et si je suis en forme… je suis prise.

Il y a deux semaines, je n’avais rien en vue et me voici dans l’embarras du choix. Je dois tout cela à l’intercession de saint Josémaria.

K. B., Pérou

27 décembre 2005.

Un chauffeur de taxi à Rome

Je suis chauffeur de taxi à Rome. Autour des années quatre-vingts j’ai fréquenté le centre de formation professionnelle ELIS. Il y a quelques jours, le hasard a fait que le directeur actuel de ce centre prenne mon taxi. Il m’a fait remarquer que nous célébrions le 40ème anniversaire de la fondation du Centre Elis

C’est un vrai miracle pour moi… pour de nombreuses raisons… que je vous raconterai plus tard.

Merci à vous d’exister !

Enzo, Italie

15 décembre 2005

Ça pressait

Nous venions de faire quelques jours de retraite en Bavière et pour partir il nous fallait aller à la gare, très tôt le matin. Or il avait neigé durant plusieurs jours. J’ai essayé d’enlever la couche de neige qu’il y avait sur la voiture. Je n’ai pas compris tout de suite qu’il faisait très froid et j’ai réalisé très vide que les portières ne pouvaient pas s’ouvrir. Nous avons essayé avec de l’eau chaude, mais ça n’a pas marché. Le temps pressait. Nous ne pouvions pas rater le train. Je me suis dit : « Père, tu dois faire que tout marche tout de suite, ou rien. Fais donc quelque chose pour que ces amis Suisses puissent prendre leur train.»

(…) Et à cet instant là j’ai vu que le gardien de la maison venait vers nous. Je l’ai appelé pour lui demander de l’aide. Il a pris tout le monde dans sa voiture. Ils sont partis. Un peu plus tard l’eau avait agit et la portière a pu être ouverte.

Angelika S., Allemagne

10 décembre 2005

Dieu met du temps mais ne pose jamais de lapins

J’ai connu le travail de l’Opus Dei en 2004, lorsqu’un cousin m’a donné l’image avec la neuvaine à faire à saint Josémaria. La sanctification à travers le travail et les tâches quotidiennes m’a beaucoup intéressé. Nous pouvons tous, grâce aux petites choses de tous les jours, creuser le sillon de la sainteté. Cette prise de conscience est magnifique car bien souvent, nous imaginant que la sainteté n’est que dans les grands événements, nous ne nous en sentons pas concernés.

Au moment où j’ai eu cette prière, j’entamais ma deuxième année de faculté et j’avais besoin de trouver un travail. On dit que Dieu met souvent du temps mais qu’il ne pose jamais de lapins et c’est bien vrai ! Aujourd’hui, après avoir beaucoup, beaucoup trimé, j’ai un travail grâce à Dieu et à l’intercession de saint Josémaria. J’ai un bon poste avec des chances de promotion que je peux concilier avec mes études. Cela me semblait invraisemblable auparavant. Je vois ainsi que Dieu me bénit au jour le jour, j’apprends de plus en plus de choses et j’en suis très heureuse et reconnaissante.

Renata, Brasil

9 décembre 2005

Hasard ou concours de circonstances

Le 9 janvier, il y a dix ans, j’ai été cambriolée alors, que fort heureusement, personne de la famille n’était à la maison. Avant de poursuivre ce récit, je tiens à dire que je venais de perdre mon père quelques mois avant et qu’au moment de sa mort il avait prononcé trois mots : le prénom de maman, mère, Marie Auxiliatrice et Opus Dei. Comme par hasard, les deux prêtres qui l’ont assisté à ce moment là étaient un salésien et un prêtre de la Prélature.

Le jour de l’effraction, comme par hasard aussi, les cambrioleurs ont laissé sur notre lit, un tas de papiers parmi lesquels il y avait une image de saint Josémaria et un dessin de mes deux fillettes. (…)

Les années se sont passées et j’avoue que, dans mon for intérieur, comme dans celui de mon mari, gisait l’espoir d’avoir un petit garçon. Nous n’avions aucun problème mais il n’arrivait toujours pas. Je n’en faisais pas une idée fixe non plus. Nous n’avons pas fait d’examens médicaux, puisqu’il n’en fallait pas. Mais, j’ai eu l’idée tout à coup de demander au bienheureux Josémaria, de le faire venir. Et ce fut le cas. Je l’ai eu à 41 ans sans aucun souci. Bien sûr, j’avais promis que l’un de ses prénoms serait Josémaria.

Par ailleurs, je dois encore raconter que, comme par hasard, je m’approche de plus en plus des Sacrements et de la célébration de la Messe. Et, j’oubliais de vous dire, que j’ai fait une retraite spirituelle qui est tombée à point nommé.

Et, comme par hasard aussi, tout à coup, j’ai une grande envie de diffuser partout ma foi catholique. On a toujours la chance de renaître, n’est-ce pas ? Je suis de plus en plus appelée à servir, cela m’est dur, mais moins qu’avant. Je rends grâces à Notre Seigneur, à la Très Sainte Vierge ( je suis née le 7 octobre), à mon Ange Gardien que j’ai découvert il y a très peu de temps, et à saint Josémaria ainsi qu’à l’âme de mon père qui, je le sens, m’accompagne en permanence. MERCI ! MES FÉLICITATIONS ! ET… COURAGE ! Je vous demande de m’inclure dans vos prières, pour que je ne défaille pas.

M.S., Argentine

3 décembre 2005

Je lui ai demandé de m’aider à « remplir mes poches »

Je travaille dans un service public. Depuis que mon nouveau chef est arrivé, j’ai eu une série de problèmes que je ne vais pas détailler ici et qui, si je n’avais pas eu la force spirituelle de l’Œuvre léguée par saint Josémaria, m’auraient achevé il y a un bon bout de temps, ou tout au moins, m’auraient rendu malade.

Après une série de problèmes financiers, découlant de ce que je viens de dire, et après avoir lu des témoignages de don Alvaro del Portillo, sur ce site, je lui ai demandé de m’aider à « remplir mes poches » et sans que je m’y attende, par deux biais différentes, j’ai été appelé pour faire des cours. Cela va me soulager et m’aider à boucler l’année.

Je rends grâces à saint Josémaria pour la force et l’espérance qu’il nous infuse et à don Alvaro pour le soulagement qu’il m’a apporté. J’espère qu’en ce mois de Marie, avec leur intercession, je vais en finir avec ces problèmes. Je pourrais encore témoigner de l’amour et de la miséricorde de notre Seigneur.

Alejandro, Chili

30 novembre 2005.

Le travail n’est pas abondant mais cela fait cinq ans que je n’en manque pas

Je suis ingénieur civil et je travaille dans un groupe de communes. Le travail n’est pas abondant, mais, Dieu merci, cela fait cinq ans que je n’en manque pas. Lorsque je suis sur le point de boucler un chantier, je dis la merveilleuse prière à saint Josémaria et, presque sur le champ, on me propose deux ou trois projets ou des dossiers techniques. Je remercie le bon Dieu de nous avoir donné un saint si à notre portée, si simple qui nous a ouvert l’horizon de la vie quotidienne en tant que papa, époux, frère et fils. Merci.

Eduardo Vega, Pérou

23 novembre 2005

Il a menacé de quitter le groupe

Je prépare un doctorat à l’Institut Supérieur Technique. Nous avons eu un problème avec notre directeur de recherches et il a menacé de quitter notre groupe. Il laisserait ainsi tomber tous les étudiants vu les mésententes qu’il y avait entre eux. Ça s’est passé vendredi soir, lors de la réunion de travail qui définit nos stratégies de travail.

Dès que j’ai constaté sa détermination, j’ai commencé à prier saint Josémaria. J’ai continué de le faire tout le week-end durant. Lundi tout allait mieux. Notre moniteur n’avait encore rien confirmé à personne. Il nous a tous convoqués mercredi suivant. J’ai insisté auprès de saint Josémaria : cette réunion n’a finalement pas eu lieu et, à la fin de la semaine, notre professeur était plus calme, il regorgeait d’idées nouvelles.

J’en suis très reconnaissant à saint Josémaria car autrement mon doctorat en aurait subi les conséquences et les retards et j’aurais dû changer l’orientation de mes recherches.

P.V., Portugal

15 novembre 2005

Dans l’Église catholique

C’est grâce à l’intercession de saint Josémaria Escriva et à ses prières pour moi, que j’ai un amour profond et durable pour l’Eucharistie. Je me prépare maintenant à être reçu dans l’Église catholique, très fortement poussé par le Saint-Esprit et par saint Josémaria.

A.K., Etats-Unis

10 novembre 2005

Je le lui avais demandé tous les soirs

J’attendais depuis longtemps ce qui est arrivé à mon père : il y comptait depuis fort longtemps mais cela lui était toujours refusé. Aussi ai-je demandé tous les soirs à Josémaria Escriva de rendre plus douce la vie de mon père et de faire que ce qu’il attendait depuis des années se réalise. Et il a reçu un avis lui communiquant qu’il allait toucher une pension de retraite définitive. Depuis ce jour-là il ne se passe pas une minute sans que je remercie saint Josémaria pour la joie et la tranquillité dont mon père jouit désormais.

Merci, saint Josémaria Escriva

S.M.B., Pérou.

6 novembre 2005

Aujourd’hui je suis avocat

Bonjour, je tiens à vous rapporter la faveur que saint Josémaria m’a faite, lui qui a soutenu ma foi sur la longue route que j’ai eu à parcourir.

J’avais fait trois ans d’études pour être admis au collège des avocats du Brésil mais je n’arrivais pas passer l’examen final, ce qui m’empêchait de devenir avocat. J’étais désespéré et j’ai même pensé à tout envoyer promener. C’est alors que j’ai été éclairé : quelqu’un m’a donné la prière au fondateur de l’Opus Dei. J’ai commencé à prier sans arrêt et j’ai repris les études en m’y consacrant totalement. J’ai réussi l’examen et aujourd’hui je suis avocat.

Je remercie tous les jours le Père de m’avoir accordé cette grâce.

Rodrigo, Brésil

6 novembre 2005

Les 53 chèques nous sont revenus

À la délégation locale de la ONG où je travaille, nous ne retrouvions plus une enveloppe avec 53 chèques, d’un montant total de 3180 euros.

Ce type d’affaires peut porter tort à n’importe quelle institution qui ne vit que des dons des particuliers. La nôtre a une bonne renommée d’honnêteté et de transparence.

La personne qui a tout égaré était très fatiguée, elle avouait ne plus savoir où chercher. Tous les chèques étaient libellés au nom de l’association et correspondaient au règlement de sessions de formation.

Après un mois, aucun indice. Nous avons donc décidé de porter plainte contre x pour que tout rentre dans l’ordre.

Nous risquions de payer cher une semblable démarche : enquêtes, perquisitions, publicité, soupçons, la police aux trousses de tous.

Après avoir voté cette mesure, comme tous mes collègues, au conseil d’administration, j’ai commencé à penser que saint Josémaria n’aurait pas procédé pas comme ça.

J’ai donc convaincu le président de ne pas porter plainte au commissariat. Nous pourrions tout juste faire une déclaration de perte, récupérer un récépissé pour l’envoyer par courrier aux cinquante trois émetteurs, leur demander de faire obstruction à la banque et de nous envoyer un autre chèque. Le feraient-ils tous ? Quelle image de marque allions-nous donner ? Et surtout, quel boulot…. !

Je me suis mise à prier saint Josémaria pour que ces chèques apparaissent. Je l’ai dit à la personne qui les avait égarés.

J’ai donc parlé aux membres du bureau, nous ne déposerions pas plainte.

Sur ces entrefaites, le président me dit qu’il allait à un mariage en l’église où en juin dernier il avait assisté à la bénédiction de la statue de saint Josémaria. J’ai profité pour lui suggérer de le solliciter lui aussi.

En rentrant de ce mariage, il m’a assuré avoir prié saint Josémaria. Je lui ai dit : « Moi, j’ai connu Josémaria, il m’accorde tout ce que je lui demande. Mais si tu t’y es mis… Aucun souci, les chèques vont arriver. »

Cependant, j’avais toujours à faire ce désagréable courrier. Les jours se passaient. Le président me demanda de lui envoyer un brouillon de la lettre. J’avais une énorme résistance. Cela me semblait un manque de foi en saint Josémaria. Je ne l’ai donc pas fait.

Cinq jours après la prière du président, il m’a appelée : « les chèques sont revenus. Tu ne devineras jamais comment, c’est miraculeux : une enveloppe au courrier de ce matin, libellée comme nous l’avait dit la personne qui l’avait égarée: « de M à J »…avec, en plus, une étiquette à notre adresse ajoutée par un inconnu.»

Je lui ai dit que je n’étais pas arrivée à faire la lettre en pensant aux indigènes péruviens qui avaient demandé la pluie à saint Josémaria et qui étaient partis aux champs avec leur parapluie. Mon parapluie c’était le refus d’écrire ce courrier. Il n’en revenait pas !

Je pense que saint Josémaria a vu que nous avions procédé en toute paix et justice : nous avions fait confiance aux nôtres, nous avions été sereins face à des mesures draconiennes, nous avions protégé notre renommée… il s’est donc mis de notre côté.

M.R., France

31 octobre 2005

Les Saints Anges Gardiens

C’est grâce aux enseignements de saint Josémaria que j’ai appris à m’entretenir

assidûment avec les Anges Gardiens.

Je le fais surtout dès que je prends ma voiture. Je leur demande de m’aider à bien conduire, à trouver des places de parking, à arriver toujours à bon port, etc…

Avant-hier, je me suis mise à régler un rétroviseur et j’ai oublié de fermer la voiture. Je priais encore mon Ange Gardien, à vingt pas du véhicule, dans une zone un peu dangereuse. Je suis revenue sur mes pas, me sentant comme happée. Arrivée au véhicule, je l’ai fermé.

Merci pour m’avoir appris à fréquenter les anges. Puissiez-vous continuer de toujours veiller avec eux sur mes enfants et sur mon mari.

Rocío, Espagne

27 octobre 2005

Remerciement

Je tiens à exprimer ici ma reconnaissance à saint Josémaria. Je suis coopérateur et je voudrais tellement bien faire tout ce que je fais pour l’Opus Dei… On ne m’a jamais laissé tomber, dans mes adversités, j’ai toujours trouvé des amis de l’Opus Dei à Palerme et à Rome qui m’ont aidé et rassuré. Je tenais à le dire.

Vincenzo Scalia, Italie

26 octobre 2005

Ce que je veux c’est changer de vie

Les faits que je vais évoquer se sont passés il y a trois ans. Ce n’est que maintenant que je me décide à les écrire.

En septembre 2002, alors que je préparais avec ma femme le voyage pour aller à Rome à la canonisation du bienheureux Josémaria Escriva, j’ai reçu un coup de fil de mon patron : il avait pensé à moi pour un projet en Afrique et le départ devait se faire sur-le-champ. Je ne rentrerais qu’à Noël.

J’ai pu négocier avec lui et il a accepté que je ne parte qu’après la cérémonie du 6 octobre.

Avant d’aller à Rome, quelqu’un qui connaissait bien ma situation professionnelle et familiale, m’a directement interpellé : as-tu pensé ce que tu vas demander à saint Josémaria à Rome ? Je ne lui ai rien répondu, parce qu’à vrai dire je n’avais encore rien pensé du tout.

Mon entreprise était une multinationale de services de consulting très compétitive et avec un esprit de groupe très fort. À l’époque j’étais dans une situation professionnelle particulière : je devais être promu aux plus hautes instances ou au contraire relégué à un poste inférieur et acculé à quitter le holding à court-moyen terme. Nos ventes étaient faibles et la pression très forte.

Ceci étant, j’ai pensé demander à saint Josémaria de m’aider à obtenir cette promotion qui assurerait ma stabilité professionnelle et économique. Mais en même temps je me disais que si je continuais dans cette entreprise, je n’allais jamais pouvoir me consacrer à ma famille, à mes amis que j’avais un peu négligés. J’ai pensé alors lui demander un autre emploi, mais je savais que mes prétentions salariales dépassaient de beaucoup la moyenne du marche et qu’ailleurs je n’aurais pas les revenus suffisants pour garder le niveau de sécurité et d’éducation que nous voulions pour nos enfants.

C’est alors que j’ai dit à saint Josémaria : « À toi de voir le mieux pour moi. Quant à moi, ce que je veux c’est changer de vie. »

Ma femme était enceinte de notre huitième enfant. Nous sommes partis à Rome où nous avons vécu des jours inoubliables. Au retour, je suis parti en Afrique.

Les semaines se sont passées très vite et je suis rentré en Espagne fin novembre. Le projet en Afrique du Sud était bon et je rentrais fort content de ma prestation. C’est alors que, le premier jour au bureau de Madrid, on m’a communiqué que j’étais licencié. Je devais quitter l’entreprise dans un mois, chercher un autre travail. J’ai vite pensé « c’est bon, on dirait que saint Josémaria a bougé, parce que ma vie vient réellement de changer ».

J’ai négocié pendant deux ou trois semaines et j’ai obtenu une indemnité de licenciement très forte. En même temps, j’ai fait des démarches pour chercher autre chose.

Après plusieurs entretiens dans le processus de sélection pour une embauche, je me vois encore aux instants qui ont précédé le dernier dans ma future entreprise. J’avais pris un café et lorsque j’allais le régler, je suis tombé sur une photo de saint Josémaria. Au dos j’ai lu ce que j’avais déjà médité très souvent mais qui était très significatif dans la situation où j’étais : « On dirait, mes enfants que le ciel et la terre se rejoignent dans la ligne de l’horizon alors que là où ils se retrouvent vraiment c’est dans vos cœurs, lorsque vous vivez saintement la vie ordinaire… »

Je me suis confié très fort à lui et l’ai interpellé « nous devons l’emporter, c’est mon dernier entretien et il va entamer le processus de mon changement de vie ».

L’entretien fut long et pénible, mais il se solda par un succès et au bout d’un mois j’étais déjà en poste dans cette entreprise. J’arrive à mieux équilibrer ma vie professionnelle et ma vie familiale et les conditions financières sont nettement meilleures que dans mon poste précédent.

Ma vie a réellement changé

J.J.R., Espagne

25 octobre 2005

Une demande très spéciale

Je veux témoigner d’avoir été écoutée par saint Josémaria Escriva. Ma demande était spéciale j’avoue, sans hésiter, avoir été l’objet de l’un de ses miracles.

Merci beaucoup.

Susana Hill de Ortega, Mexique

23 octobre 2005

Maintenant ils en attendent deux

Ma sœur avait une endométriose, maladie qui l’empêchait d’avoir des enfants. Après de nombreux traitements et interventions, son époux et elle ont décidé d’avoir recours à la procréation médicalement assistée. Après plusieurs essais, ils ont eu ma nièce. Ils en voulaient d’autres pour qu’elle ne soit pas fille unique, et ils ont retenté l’expérience. Mais ça n’a pas réussi et elle a fait plusieurs fausses couches.

J’ai pu parler avec elle et lui faire voir que la méthode qu’elle suivait était déconseillée par l’Église parce que la dignité de la personne humaine en souffrait. Cependant, vu la pression de la famille et de son mari qui refusait d’avoir recours à l’adoption, elle acceptait quand même de se soumettre à la procréation assistée.

Je lui ai dit un jour que j’allais prier le fondateur de l’Opus Dei pour qu’il envoie un petit frère à ma nièce car je savais que saint Josémaria avait intercédé pour des femmes dans son cas et que Dieu avait fait quelques miracles.

J’ai commencé à prier saint Josémaria pour cette faveur et surtout pour qu’il ne me laisse pas en mauvaise posture. Mon époux et moi-même faisons partie de l’Opus Dei, nous avons six enfants et beaucoup de problèmes financiers. Ma sœur et son mari, en revanche, n’ont qu’une fille et une affaire qui leur permet d’avoir un niveau de vie bien supérieur au nôtre.

Après trois mois de prière, Dieu a fait un miracle pour eux. Maintenant ils attendent deux bébés… sans avoir recours à la procréation assistée. Leur gynéco n’en revient pas. Pour lui une grossesse était impossible, à cause de l’état de ses trompes de Fallope, et voilà qu’elle en attend deux ! Dieu ne se laisse pas dépasser en générosité. Mon beau frère et ma sœur sont très heureux. Il ne me reste qu’à demander leur conversion.

Je demande aussi à saint Josémaria que mon mari trouve du travail. Il est au chômage depuis janvier dernier et nous passons de mauvais moments. Je sais cependant que tout est pour le bien et que nous allons tirer un très grand profit de cette épreuve pour la vie spirituelle de notre famille.

Dieu est vraiment bon

D.L. Mexique.

19 octobre 2005

Merci

Je veux tout d’abord remercier Dieu Tout-puissant pour nous avoir fait le don de saint Josémaria en ces temps si houleux. Merci spécialement à saint Josémaria pour m’avoir inspiré et protégé. C’est vraiment un grand intercesseur devant Dieu. Qu’il soit toujours notre guide spirituel.

Dennis Mifsud, Malte

19 octobre 2005

Il nous a unis davantage

C’est mon époux qui m’a fait connaître saint Josémaria qu’il a eu la chance de rencontrer et d’écouter lors de son séjour en Amérique Latine, juste avant sa mort. Mon époux m’avait offert « Chemin » et je l’ai lu dans l’admiration. 20 ans se sont écoulés et je viens de lui demander aujourd’hui de veiller sur mon époux et sur moi. Nous sommes dans une grande difficulté. Tout semble bien évoluer. Une chose après l’autre. Alors que tout semblait totalement bouché. Et, ce qui est le plus important, il nous a unis davantage dans ce mariage que nous avons toujours voulu vivre saintement. Merci saint Josémaria.

J.G.R., Chili

17 octobre 2005

Une commande

Il y a deux ans, à peu près, j’ai dû quitter mon travail à cause de mon diabète. Depuis nous avons vécu très austèrement, en suivant les conseils de saint Josémaria que je ne connaissais pas avant que mon ange gardien me fasse rencontrer quelqu’un qui m’a raconté l’histoire de son diabète.

Ce fut très dur, en effet parce que j’ai décidé de changer de cap et de créer une petite entreprise.

Tout tenait du miracle et, à un moment donné, je me suis dit qu’il fallait arrêter.

J’ai alors prié saint Josémaria pour un rendez-vous que j’avais à Madrid avec un client potentiel dont la commande pouvait faire que mon entreprise reprenne. J’ai pu y aller en avion (à crédit) et pendant le voyage je me suis confiée à lui, avec son image dans ma poche.

Le client m’a reçue, il m’a écoutée. C’était déjà stupéfiant car j’étais une puce en face de cet éléphant. Il m’a dit qu’il ne voyait pas bien l’affaire mais qu’il allait faire quelque chose. J’étais un peu découragée, à vrai dire. À l’aéroport, en attendant de prendre l’avion du retour, je suis allée à la chapelle. J’ai remercié Dieu pour tout. Et, ô surprise, dans cet oratoire il y avait un tableau de saint Josémaria qui souriait sous son regard touchant. J’en ai été émue et je l’ai remercié.

Trois mois se sont écoulés et hier on m’a appelée pour me passer la commande qui va permettre que notre entreprise subsiste et puisse évoluer normalement. Je le remercie aussi pour ces jours de retraite qu’il me fit faire dès le début de ma maladie et je le remercie aussi pour ma maladie.

Pilar, Espagne

14 octobre 2005.

J’ai trouvé une image dans un centre de l’Opus Dei

Dans le cadre de mon travail, le hasard m’a conduite dans un centre de l’Opus Dei où j’ai trouvé une image de saint Josémaria. Je l’ai mise dans mon sac et depuis je le prie. J’ai toujours été aidée, dès que je l’ai prié. J’ai été l’objet de choses incroyables. Je puis vous l’assurer, je suis une jeune mère de famille et jamais je n’avais imaginé que cela puisse m’arriver. Il y a eu des bouleversements dans ma vie personnelle et professionnelle et je ne pense pas que ce soit par hasard. Quelqu’un m’entoure et me protège, il aide ma famille. Ma foi est de plus en plus forte et je me sens bien.

B.B., Espagne

14 octobre 2005

Une lettre de Tunis

Voici des nouvelles de Tunis où, le 26 juin dernier, il y eut une messe en la fête de Saint Josémaria.

Chers Amis

Le seigneur exauce nos prières! En effet la messe du 26 juin que nous avons organisée s'est très bien déroulée, Saint Josémaria Escriva était le saint du jour dans notre paroisse ce dimanche 26.

Durant toute la messe, aussi bien dans l'homélie que dans la prière universelle, le père Moise KOUMAKPAI nous a fait découvrir un peu plus «ce nouveau saint de l'église catholique»; tout en soulignant les principaux traits de l'esprit du fondateur qui diffuse le message de l'appel universel à la sainteté de tous les baptisés. Il a par ailleurs demandé de prier spécialement pour l'Œuvre, pour les fidèles de l'Opus dei.

À la fin de la célébration, les assistants ont pu visiter une toute petite exposition où l’on a distribué des images de saint Josémaria et prospectus sur l'Opus Dei et son fondateur. Les paroissiens ont beaucoup apprécié cette exposition qui leur a permis de connaître un peu plus cette Œuvre.

Encore merci pour votre soutien et vos prières.

M. G. Tunis

octobre 2005

La valise égarée

Hello ! Je vous écris pour vous raconter une faveur spéciale de saint Josémaria. Le vendredi 28 octobre, nous avons reçu un coup de fil de notre fille qui habite New-York. Elle était à l’aéroport avec son mari, un scientifique qui se rendait à un congrès en Argentine. Elle nous demandait de l’aide, des prières de Lima, pour que la valise que mon gendre Antonio venait d’égarer et qui avait ses papiers, son passeport, son ordinateur portable avec son exposé et ses travaux, apparaisse. Dès que je l’ai su, j’ai invoqué notre cher Père et lui ai demandé de faire l’impossible pour qu’ils la retrouvent à temps. Il devait intervenir auprès de la Sainte Vierge, de Saint Joseph et, avec don Alvaro, trouver cette valise avant l’embarquement. Avec la prière de son image, j’ai aussi offert mon jeûne et ma mortification. J’étais sûre d’avoir été entendue. J’ai donc dit à saint Josémaria que j’allais écrire sa FAVEUR. Voilà qui est fait. Après deux heures de recherche acharnée, ils ont tout récupéré. Quelqu’un avait tout découvert dans un bus à l’aéroport et l’avait remis aux objets trouvés. Merci, cher Josémaria, pour cette faveur.

Nous prions maintenant saint Josémaria pour que notre gendre puisse travailler en Espagne, comme il le souhaite. Nous ne doutons pas de l’aide de notre Père et de don Alvaro. Je vous donne rendez-vous pour le récit de cette nouvelle grâce que nous attendons d’eux.

M. P. T. Pérou

31 octobre 2005

J’ai trouvé une petite image par terre

Je ne connais pas du tout l’Opus Dei. Je suis catholique, non pratiquante, j’ai trouvé une petite image de saint Josémaria par terre, je me suis dit qu’il fallait que je la prenne, je l’ai mise dans mon sac et depuis tout a changé. Je le prie, il m’accorde tout ce que je lui demande. Vous ne pouvez pas savoir tout ce qu’il m’a aidée. Quelque chose a changé en moi et je m’efforce d’être meilleure et d’aider les autres. Il me récompense, j’en suis sûre. S’il vous plaît, publiez mon témoignage.

A.L, Espagne

22 octobre 2005

Des jours de retraite

La semaine dernière il m’est arrivé quelque chose d’incroyable: je voulais faire une retraite spirituelle au plus vite et je n’arrivais pas à trouver les bonnes dates puisque les cours à la fac allaient commencer et que je ne pouvais pas les manquer. Le 27 septembre, une amie m’a appelée pour me dire qu’il y en avait une du 29 sept au 2 octobre, aux bonnes dates pour moi. Je suis sûre que saint Josémaria est dans tout cela, il voulait que j’y aille puisque j’y tenais très fort et que je ne pouvais le faire que ce week-end-là.

Je n’ai jamais fait de meilleure retraite de ma vie: elle a commencé le 29 septembre en la fête des saints archanges et elle s’est achevée le 2 octobre, en l’anniversaire de la fondation de l’Opus Dei. Quel bon encadrement.

Merci, saint Josémaria!

M.A., Espagne

8 octobre 2005

Le 7 octobre 2002

Mon histoire est un vrai miracle que je dois à saint Josémaria. À l’accouchement de ma deuxième fille, Juanita, j’ai eu une éclampsie. Cependant tout s’est bien passé et pour ma fille et pour moi. Elle est née le 7 octobre 2002, le lendemain de la canonisation de saint Josémaria. Habituellement peu de femmes survivent à ce type de maladie. Je remercie saint Josémaria qui a intercédé pour que Dieu nous accorde à toutes les deux la chance de vivre.

L. M. M., Colombia

8 octobre 2005

La demande de mon père

Mon oncle avait un cancer de l’œsophage et après le diagnostic, tout s’est très rapidement aggravé. Nous savions que c’était irréversible. Voyant qu’il avait peu de temps à vivre, j’ai cherche un prêtre pour qu’il le prépare à aller au Ciel. Deux jours avant sa mort, lorsqu’il était encore lucide, mon oncle a bien voulu voir l’aumônier de l’hôpital et a reçu les saints sacrements. Le 8 décembre, en la fête de l’Immaculée, mon oncle est parti au ciel.

Quelques mois plus tard, mon père, qui aimait beaucoup son beau-frère, et qui est un grand dévot de saint Josémaria, me dit qu’il lui avait demandé que mon oncle malade s’approche à nouveau de Dieu.

Pilar Alfonse Alvarez, Espagne

7 octobre 2005

« Si vous croyez en Dieu… »

À Oviedo, Gema traversait sur un passage clouté. Une voiture ne l’a pas vue et l’a renversée. Elle a été opérée aux urgences à l’hôpital d’Oviedo d’une lésion à la moelle. Les chirurgiens ont tout fait mais ils ont dit à sa famille qu’elle serait tétraplégique et vivrait sous respiration assistée. Son papa a demandé quelles étaient les chances de récupération. Un docteur lui a répondu : « Si vous croyez en Dieu… »

Quelques jours après, Gema a commencé à remuer les jambes et les bras. Le corps médical n’en revenait pas. C’était un miracle, sans aucun doute.

Peu de mois après, mon père m’a dit que ce miracle est dû à l’intercession de saint Josémaria parce qu’il le lui avait demandé dès qu’il avait appris l’accident. Mon père m’a dit que pendant l’intervention chirurgicale, saint Josémaria et son « assistant », Alvaro del Portillo, étaient à l’ouvrage.

Gema s’en est tout à fait remise et mène une vie normale.

Pilar Alfonso Alvarez, Espagne

7 octobre 2005-10-20

Un clin d’œil de saint Josémaria

Je faisais des courses avec mon petit d’un an et demi. Dans un moment de distraction, on m’a dérobé mon sac. J’ai demandé à saint Josémaria de m’aider à retrouver mes documents. Deux heures après, j’ai reçu un coup de fil. Un monsieur avait trouvé mon sac avec quelques objets et les documents. Mon mari est allé chez lui cet après-midi-là pour tout récupérer. Avec mes affaires, il y avait un petit âne. Mon mari lui dit qu’il n’était pas à moi et le monsieur lui a répondu : « Il était bien dans le sac. Sans doute votre femme l’a acheté pour le mettre dans sa Crèche.

Dès que j’ai vu cet âne, j’ai compris que c’était un clin d’œil de saint Josémaria qui aimait beaucoup cet animal. En effet, avant mes courses, j’étais allée avec mon enfant dans un centre de l’Œuvre et je l’avais vu jouer avec ce petit ânon. Je n’ai pas vu qu’il le mettait dans mon sac, mais il y était vraiment. Pourquoi mon petit Luc aurait-il pris cet objet ? Je n’en sais rien.

P.A.A., Espagne

7octobre 2005

Une lettre de remerciement à saint Josémaria

Mon cher saint Josémaria

Je t’écris cette lettre pour te remercier d’avoir intercédé pour que je puisse me marier le 1er octobre 2005 en la paroisse Saint-François-Xavier.

Le 6 janvier 2004, John et moi nous te rendions grâces : nous nous étions retrouvés le 26 juin 2003 après quatre ans et demi de séparation. Nous nous sommes fiancés le 1er janvier 2005.

En cette veille de l’anniversaire de ta canonisation, je tiens à te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi. Merci de nous avoir guidés en cette année de préparation au mariage. « Tout est pour le bien de ceux qui ont mis leur espoir dans le Seigneur », c’est bien vrai. Le couple qui nous a aidés à nous préparer au mariage nous a beaucoup apporté. Il nous a encouragés à aller à la messe en semaine pour une meilleure approche spirituelle au mariage. Nous avons décidé d’y aller ensemble tous les mercredis. Cela nous a énormément aidés à dépasser les obstacles qui se sont présentés. Le prêtre nous a aussi appris à prier pour que rien ne nous empêche de vivre notre vocation matrimoniale. S’il te plait, continue de nous aider à être un couple saint et heureux. Guide-nous avec sagesse dans notre vie de ménage. Que le Seigneur nous bénisse vite avec le don d’un enfant. J’envoie un petit don pour les œuvres apostoliques de l’Opus Dei.

Y.T., Singapour

5 octobre 2005

Mes amis me disent qu’il s’agit d’un miracle

Avec un visa d’étudiant, je faisais mes études en Nouvelle Zélande. Je suis de l’Inde et mes parents et moi-même avons fait d’énormes sacrifices pour que je puisse accéder à l’université. J’ai toujours voulu rester en Nouvelle Zélande pour travailler. Mes études touchaient à leur fin et avec le quota réservé à l’immigration il était presque impossible que je puisse y rester. Je travaillais à temps partiel avec un gérant d’entreprise catholique. Un jour il m’offrit une petite brochure avec la prière à saint Josémaria et me recommanda de le prier.

Un soir, je lui ai adressé ma prière, et le lendemain, de très bonne heure, un ami m’a appris qu’on révisait les quotas à l’immigration pour accorder aux étudiants en fin d’études une autorisation de six mois de séjour supplémentaires. Que j’étais content ! Je savais que c’était une réponse à ma demande… mais quelle rapidité : moins de 12 heures !

J’ai alors cherché désespérément un travail en rapport avec mes études d’économie en vue d’avoir une autorisation de séjour de deux ans. Je ne trouvais rien. J’ai donc opté pour signer un contrat là où j’étais, qui passerait d’un temps partiel à un temps complet. C’était un emploi de vendeur et non d’économiste, cela me convenait moyennement. J’ai donc repris ma prière à saint Josémaria. Une semaine après, j’avais une autorisation de travail de deux ans. Le stress a disparu du jour au lendemain. Mes amis pensent qu’il s’agit encore d’un miracle. On n’accorde pas deux ans de séjour pour un emploi si précaire. Moi je sais qu’il s’agit d’une réponse à mes prières.

Le préposé au service des migrants lui-même m’a confirmé aussi que j’avais eu beaucoup de chance avec cette autorisation de deux ans dans ces conditions. Je sais que ce miracle est dû à ma prière à ce saint.

Je viens de présenter ma demande de résident permanent et je l’ai encore prié. Je suis sûr d’avoir encore une réponse positive. Je ne peux que le remercier et croire toujours plus en son intercession.

A.P., Nouvelle Zélande

6 octobre 2005

Le 6 octobre 2002, une journée qui m’est présente à tout moment

C’est le 6 octobre 2002 que j’ai reçu cette faveur. À l’époque j’avais 24 ans et j’étais encore étudiant. « J’ai demandé » de pouvoir assister à la canonisation de saint Josémaria à une place m’empêchant de me distraire. J’avais décidé d’y apporter toutes mes intentions : professionnelles, celle de la famille que j’allais fonder, etc… Tout.

Je n’avais parlé à personne de cet objectif et voilà qu’un ami romain m’appelle en septembre pour me dire qu’il avait un billet pour moi au secteur 4. Lorsqu’on a assisté à la canonisation on sait combien la foule était nombreuse et combien ce secteur là était apprécié. J’étais déjà très content : j’avais été entendu là-haut. J’ai commencé à rendre grâces dans ma prière. Mais le meilleur était à venir.

Lorsque je suis arrivé de Milan à Rome le 5 octobre, je suis descendu chez mon ami. Le lendemain nous nous sommes rendus à la canonisation. Mon ami déposa sa voiture derrière la Basilique Saint-Pierre. Nous avons franchi un contrôle et, à ma grande surprise, j’ai vu que nous étions au Vatican. Je lui ai demandé ce que nous faisions là mais il ne m’a rien répondu. J’ai donc attendu.

Il ne m’en avait pas parlé, mais il avait obtenu des billets pour nous deux au secteur réservé aux autorités, entre le chœur et le Saint-Père. J’en ai eu la chair de poule.

J’ai suivi la cérémonie « de l’intérieur » pratiquement puisque j’étais derrière le pape.

Je ne doute pas un instant que saint Josémaria a voulu intercéder pour cette grâce.

J’ai ainsi gardé tous les détails de cette journée dans mon cœur et à tous les instants de ma vie. Depuis je n’ai cessé de remercier et ma foi est devenue plus ferme.

Federico Leone, Italie

7 septembre 2005

De Cuba

Je voudrais partager avec vous la grande joie intérieure que m’apporte l’existence de l’Opus Dei et de son fondateur. À Cuba, la présence de l’Œuvre est impossible pour de multiples raisons mais je suis sûr que quant nous nous y attendrons le moins, saint Josémaria fera que vous puissiez vous installer dans mon pays. Nous avons besoin de connaître et de fréquenter le Christ continuellement et l’aide spirituelle que fournit l’Œuvre dans ce sens est très forte. Pour ma part, je dis la prière à saint Josémaria en lui demandant d’accorder cette grâce à Cuba.

L.E., Cuba

22 septembre 2005

Merci

Cela fait longtemps que je lis Chemin, Sillon et les biographies de saint Josémaria pratiquement tous les jours. J’y découvre sans arrêt de nouvelles choses qui m’aident dans ma vie quotidienne de chrétien. Je suis coopérateur et plein de reconnaissance à l’Opus Dei pour la formation que j’y reçois.

F.M., Espagne

18 septembre 2005

Master à l’université

Je tiens à vous envoyer ce bref témoignage. J’avais décidé il y a quelques années d’obtenir un Master en Espagne et j’ai choisi de le faire à l’Université de Navarre. Lorsque j’ai appris que saint Josémaria en était le fondateur, je lui ai recommandé cette faveur.

Je rentre aujourd’hui au Pérou et il faut que je vous dise que ce saint m’a accordé ceci : j’ai pu obtenir une maîtrise à son Université grâce à une bourse du Programme Alban. Il a voulu de plus que j’aille le rencontrer à Rome, en l’église Sainte-Marie-de-la Paix, grâce à un voyage UNIV 2005. Je lui suis infiniment reconnaissante pour toutes les bénédictions accordées lors de mon séjour à Pamplune.

Julianna Paola Ramirez Lozano, Pérou

12 septembre 2005

Au séminaire

Depuis que je connais la vie et l’œuvre de saint Josémaria, je n’ai cessé de demander à Dieu ma vocation sacerdotale. Je suis actuellement au séminaire au quatrième semestre de théologie et je m’en remets tous les jours à Dieu par l’intercession de saint Josémaria.

J’aime de tout mon coeur l’Église et je voudrais m’engager à être un saint prêtre pour faire connaître le Christ dans un monde qui a tellement besoin de Dieu. Grâce au témoignage de saint Josémaria, tous les jours de ma vie ne visent qu’à être prêtre le moment venu, puis un saint prêtre, et ensuite toujours prêtre. Les miens ont compris, grâce à ma vocation et à mon don à Dieu, la grande importance de la famille.

Oscar Javier Chicuazuque Gil, Colombie

9 septembre 2005

Il m’accompagne toujours

Je suis quelqu’un de très attaché à l’intercession de saint Josémaria Escriva. Il est comme un ange, toujours avec moi. Il m’aide à corriger mes erreurs et à voir la vie différemment. Je rends grâces à Dieu pour les mauvais et les bons quarts d’heure que j’ai vécus. Des mauvais, j’en tire une grande leçon. Merci Seigneur, merci « mon ange » (c’est ainsi que je l’appelle toujours).

Pérou

5 septembre 2005

Une intervention chirurgicale

Je suis administrateur d’une propriété urbaine et j’ai un employé qui a eu une grave complication cardiaque au bloc opératoire lorsqu’on le préparait pour qu’il suive un traitement d’hémodialyse.

Il n’est pas croyant, mais lorsque je lui ai rendu visite dans l’unité des soins intensifs, je lui ai suggéré de garder sous son oreiller une image de saint Josémaria. Il a accepté. J’ai prié pour lui et j’ai demandé à mon frère, prêtre de l’Opus Dei d’offrir la Sainte Messe pour lui, ce qu’il a fait le lendemain même.

Nous avons tous eu la joie de voir que vingt-quatre heures après, on a pu lui poser le cathéter, alors que l’équipe médicale pensait que cela allait être difficile. Il a pu commencer son processus de dialyse. Actuellement, il est convalescent, mais il mène la vie qu’il avait avant tous ces ennuis de santé. Bénit soit Dieu Notre-Seigneur qui, par l’intercession de saint Josémaria, a secouru cette personne.

Julian, Espagne

29 août 2005

Pour la santé de notre fille

Nous avions détecté une très forte odeur dans l’urine de notre fille de quatre mois qui mangeait de moins en moins. Elle n’avait pas de fièvre, mais nous l’avons emmenée au centre de santé pensant qu’il s’agissait d’une infection.

On lui a fait subir un premier test qui s’est avéré positif suite auquel nous l’avons conduite à l’hôpital pour un second test, positif lui aussi. Le docteur nous a parlé d’une infection ou d’un problème aux reins. Le lendemain on lui ferait un test définitif.

Nous étions fort angoissés, ma femme et moi.

Je n’ai pas dormi de la nuit et j’ai fait, de tout mon cœur, une neuvaine pleine de foi à saint Josémaria lui demandant la santé de ma fille.

Le lendemain, ce test a été fait et, après trois heures d’attente, le pédiatre nous a appelés pour nous confirmer un résultat négatif. Nous pouvions rentrer chez nous.

Manuel Ramos Gomez, Espagne

29 août 2005

Demander avec confiance

J’ai 20 ans et je suis en train de connaître, petit à petit, l’Opus Dei. Je peux assurer que saint Josémaria est quelqu’un de très intelligent qui aime profondément l’Église.

Nous devons beaucoup prier Dieu, avec foi et amour.

Dieu n’abandonne pas ceux qui mettent en Lui leur confiance.

Olga Raquel Tenreiro Teixeira, Portugal

25 août 2005

Deux valises de vêtements

À un moment donné j’ai reçu une photo de saint Josémaria. Je venais d’arriver en Espagne et je lui ai demandé que quelqu’un m’offre le linge et les vêtements dont je manquais. Deux jours après, ma patronne m’a donné deux valises de vêtements qui m’allaient tous. Je remercie Dieu qui m’a accordé cette faveur par l’intercession de saint Josémaria.

M.R., Pérou

16 août 2005

Participer à la Sainte Messe

J'aimerais remercier Saint Josémaria pour une faveur reçue grâce à son intercession.

J'ai 17 ans, je suis catholique pratiquant et je suis en vacances à Paris chez ma grande sœur qui est croyante mais non pratiquante. Il lui arrive de trouver que la religion a un côté "rébarbatif", alors que Dieu est la seule chose dont on ne peut se lasser.

J'ai une grande dévotion pour la Vierge Marie et je suis membre d'une archiconfrérie dont le but est d'honorer Son Cœur Immaculé. Cette pieuse association demande notamment à ses fidèles de prendre part à l'Eucharistie le premier samedi du mois en l'honneur de Marie.

Le vendredi 5 août j'annonçai à ma sœur que je devais communier le lendemain en l'honneur du Cœur de Marie. Elle commença à s'agacer contre moi, à me dire que je passais mon temps à l'église, que je n'avais rien d'autre à faire, et que je n'avais qu'à me débrouiller tout seul pour aller à la Messe le lendemain. Je lui ai alors répondu que j'avais pris un engagement envers la Vierge, que je l'avais toujours honorée et que je ne comptais pas y manquer. Je résolus donc de prendre le métro tout seul pour aller à Paris le lendemain afin d'assister à la Messe.

Avant de me coucher j'invoquai Saint Josémaria, convaincu qu'il viendrait à mon aide.

Le lendemain, samedi 6 août, je me levai et je constatai que ma sœur n'était plus fâchée du tout contre moi. Elle me demanda pardon pour son comportement de la veille et nous nous rendîmes ensemble à Notre-Dame de Paris pour assister à la Messe de la Transfiguration de Notre-Seigneur.

Merci à Saint Josémaria.

Jean-François, France

6 août 2005

C’est un vrai miracle

Ma mère a été victime d’une rupture d’anévrisme. J’ai prié tous les jours pour demander sa guérison sans séquelle. Grâce à Dieu et à saint Josémaria, ma mère a recouvré sa santé,sans séquelles. C’est un vrai miracle.

Marthe D. France

3 août 2005

J’ai pu travailler normalement

Je tiens à rapporter la faveur que saint Josémaria m’a accordée. Je suis diabétique et je dois m’injecter de l’insuline. Hier matin, mon taux de glycémie était élevé ce qui m’a poussé à m’injecter deux doses d’insuline rapide. Je me suis rendu compte après que je venais de m’injecter une dose trois fois supérieure à celle dont j’avais besoin. J’ai demandé à Dieu, à travers saint Josémaria, de faire en sorte que cette quantité excessive ne m’empêche pas de travailler. Ceci étant, j’ai pris avec moi une bonne quantité de morceaux de sucre à ingérer en cas d’hypoglycémie. J’ai emporté le glucomètre (pour mesurer le taux de glucose dans le sang) et à l’heure prévue, je me suis injecté la dose nécessaire pour le reste de la journée.

Je n’ai eu aucune altération ni le matin, ni l’après-midi : j’ai mangé comme d’habitude, avec des morceaux de sucre en plus au cas où la neutralisation d’une baisse de sucre aurait été nécessaire.

Réellement, hier, saint Josémaria a été le garant de mon activité : j’ai travaillé normalement, grâce à Dieu et grâce à lui.

Oscar Gomez Cantero, Espagne

29 juillet 2005

Son certificat de baptême

Très reconnaissant, j’écris cette faveur que m’a accordée saint Josémaria. Je suis professeur à Tajamar, œuvre collective de l’Opus Dei dans le quartier populaire de Vallecas, à Madrid. Durant l’année scolaire écoulée j’ai formé des élèves qui se préparaient à recevoir le sacrement de Confirmation. Deux mois avant la cérémonie, fixée au vendredi 3 juin, je leur ai demandé de retirer les certificats de baptême dans les paroisses où ils avaient été baptisés. Roger, né en Bolivie, a demandé à quelqu’un de sa famille de s’en occuper. Les certificats ont tous été remis, excepté celui de Roger. La Bolivie traversait alors une période d’agitation sociale très inquiétante. Roger, calme de nature, a commencé à stresser au fur et à mesure que les jours passaient : ce fichu certificat n’arrivait pas ! La veille de la Confirmation, nous avons eu la dernière causerie préparatoire. Je leur ai parlé de l’attachement de saint Josémaria à Tajamar, des fois où il était venu nous voir et de ses activités à Vallecas pendant les années 30. Ceci nous a poussés à nous « confabuler » pour le prier très fort d’envoyer le certificat au plus vite. Le jour de la Confirmation, au tout début de la matinée, avec un sourire d’oreille à oreille, Roger m’a remis son certificat de baptême.

Roberto Gónzalez, Espagne

19 juillet 2005

J’ai rencontré mon ami

Je suis argentin et j’habite Rome. L’un de mes amis argentins arrivait à Rome le 26 juin. Il est pilote et n’allait rester en ville que trois jours. Moi je devais m’absenter dès le lendemain. Nos horaires compliqués ne nous permettaient pas de nous rencontrer. Je ne connaissais pas très bien non plus l’heure de son arrivée. De plus je n’étais pas chez moi. Je tenais vraiment à le retrouver, aussi en rentrant chez moi j’ai confié l’affaire à saint Josémaria. Quelques minutes après, le téléphone a sonné. Tout était résolu. Je dois ajouter que j’avais tous les atouts de mon côté : j’habite tout près de la paroisse saint Josémaria et c’était le jour de sa fête

S. C., Italie

19 juillet 2005

La climatisation l’été à Rome

Il ne s’agit pas d’une faveur, mais de deux. Les deux ont eu lieu à deux semaines d’intervalle. J’avais déjà prévu d’écrire la première, et la seconde est arrivée, du même « acabit ». Tout est en rapport avec la climatisation centrale de chez nous. Le mois de juillet, c’est bien connu, est étouffant à Rome. Au tout début du mois, la réfrigération est tombée en panne tout à coup. Comme j’habite tout près de la paroisse saint Josémaria, il était normal que je lui confie cette affaire : « Père, tu sais bien qu’il est impossible de travailler avec une chaleur pareille ». Le problème fut réglé le lendemain, lorsque l’appareil démarra après avoir été programmé. Deux semaines après, la climatisation était encore ne panne dans une zone de la maison. J’ai dit à saint Josémaria qu’il n’était pas possible qu’on ait tant de soucis si près de « chez lui ». Nous avons encore attendu le lendemain et, vers vingt heures, tout s’est remis en route, à l’heure programmée, et alimente correctement toutes les zones de la maison.

S. C., Italie

19 juillet 2005

Une faveur de saint Josémaria

Une amie, agent immobilier, avait des ennuis pour liquider une affaire : un locataire avait versé une caution pour un loyer meublé, mais son propriétaire ne voulait pas lui fournir le mobilier dont il avait besoin. L’affaire traînait depuis longtemps et samedi je suis allée la voir. C’était la date limite. Elle était préoccupée parce que le locataire était en droit de réclamer qu’on lui rembourse la caution alors que le propriétaire pouvait refuser. Le cas échéant, mon amie devrait verser la quantité de sa poche pour satisfaire le locataire.

Elle priait déjà saint Josémaria et lorsque je suis arrivée elle m’a demandé d’appuyer sa demande. J’ai compris que c’était urgent et sérieux et je me suis sentie concernée : puisque c’était moi qui le lui avait fait connaître, saint Josémaria devait l’aider pour qu’elle ne mette pas en doute la force de son intercession

J’ai donc prié intensément saint Josémaria pour qu’il trouve une solution à ce problème qui semblait insurmontable. J’ai assisté aux entretiens de mon amie avec le locataire et le propriétaire et je voyais bien qu’un accord entre les deux était impossible, sauf miracle.

Je l’ai quittée au milieu des pourparlers, parce que j’avais d’autres occupations.

La semaine suivante, elle m’a dit qu’elle était arrivée à convaincre le propriétaire qui avait accédé à louer les meubles dont le bâilleur avait besoin et tout s’est bien terminé. Ni elle, ni moi, n’en avons le moindre doute : l’heureuse issue de cette affaire nous la devons à la puissante intercession de saint Josémaria.

S.O., Singapour

18 juillet 2005

Il m’a encouragé et prêté main forte

J’ai 40 ans. Lorsque j’en avais 18 et que j’étais en Terminale, j’ai eu un professeur d’Histoire qui était de l’Œuvre. Nous sommes devenus amis, nous faisions du sport ensemble et surtout nous nous entretenions longuement. L’année d’après, ce professeur fut muté ailleurs et nous n’avons plus eu de contact, un peu par négligence de ma part. Il m’avait marqué spécialement sur deux points auxquels j’ai souvent pensé au fil de ces années : j’ai toujours eu en tête sa fermeté intérieure et sa joie. Cela m’a fait souvent réfléchir et aidé en bien des circonstances mais ce qui m’a le plus marqué et influencé tout au long de cette période, ce fut un cadeau de lui : CHEMIN, l’ouvrage de saint Josémaria.

Ma vie a été un peu ballottée dans tous les sens, il faut bien le dire, j’ai eu beaucoup de problèmes, mais dans mes mauvais passages, j’avais recours à CHEMIN qui, je ne sais pas pourquoi, m’a encouragé et prêté main forte.

Je suis en phase de récupérer ma vie intérieure et je pense que je commence à voir quelle est ma voie. Voilà mon témoignage et mon petit miracle. Merci ! saint Josémaria.

Francesc Rueda, Espagne

14 juillet 2005

Une chute dans le vide d’un mètre et demi

Notre fille, âgée de dix mois et demi, a échappé à notre vigilance et s'est dirigée à quatre pattes vers l'escalier. Elle y est tombée et, en passant entre les barreaux, elle a terminé sa chute sur le carrelage, en tombant dans le vide d'une hauteur de 1,5 mètre.

Nous avons craint le pire en la voyant allongée par terre.

En attendant l'arrivée des pompiers, nous l'avons prise dans nos bras (elle pleurait) et nous avons récité plusieurs fois la prière à saint Josémaria en lui demandant de la protéger et en appliquant sur elle une image-relique que nous possédons. A l'arrivée des secours, elle ne pleurait presque plus, tout semblait normal; elle a été emmenée à l'hôpital pour voir un médecin afin de vérifier qu'elle n'avait pas de traumatisme crânien. Le médecin qui l'a examinée a constaté que son examen clinique était parfaitement normal et n'a même pas jugé nécessaire de la garder une nuit en observation. Aujourd'hui, trois jours après sa chute, notre fille n'a qu'un léger bleu sur une joue. Pour nous, il est évident que saint Josémaria a exaucé notre prière.

Bénédicte, France

10 juillet 2005

On n’a rien trouvé

L’intervention chirurgicale pour extirper une tumeur maligne était prévue le 24 juin. Les analyses montraient que la tumeur avait à peu près 6 cm. Je souffrais énormément et j’étais fort déprimée : en effet j’avais subi d’autres interventions et tout laissait penser que cette tumeur était cancéreuse. Aussi devrais-je me soumettre à une chimiothérapie à partir du 4 juillet.

Nous n’arrêtions pas de prier saint Josémaria car nous n’avions pas les moyens de payer les chimios : 24 séances à 30 ‘briques’ par mois. Nous prions beaucoup… Les semaines qui ont précédé l’opération j’ai travaillé à restaurer une statue de saint Joseph à l’Enfant pour l’église de ma communauté. J’y ai travaillé jour et nuit puisque je ne pouvais pas envisager de la livrer, dans les délais prévus, après l’intervention. La veille je l’ai remise à l’église et j’ai demandé beaucoup de force pour pouvoir supporter avec courage et foi ce qui m’attendait. J’ai 38 ans, un époux merveilleux qui m’a toujours réconfortée. Le 24 juin j’ai donc été opérée… beaucoup de prières… ON N’A RIEN TROUVÉ. Tout avait disparu… il n’y avait plus de tumeur, aucune trace de cellules malignes. MIRACLE. Les médecins n’arrivent pas à comprendre comment, après tous les examens fouillés, ils n’ont rien trouvé.

R.C. Mexique

27 juin 2005

Je lui demande beaucoup de choses

Je ne fais pas partie de l’Opus Dei mais je suis une grande dévote de saint Josémaria quand même. Je prie Josémaria de nous aider à persévérer, moi-même, ainsi que mon mari et mes enfants dans la foi et au travail. Je lui demande de les aider à bien travailler pour qu’ils puissent avoir, par la suite, une situation digne et honnête qui leur permette de vivre. Je prie pour ma patrie qui a besoin de paix et de réconciliation. Merci, mes amis, pour votre effort à la réalisation de cette page qui communique au monde la foi et le mode de sainteté « exprimés » par Josémaria Escriva de Balaguer. Toute à vous : Rosario

R.S., Argentine

27 juin 2005

Deux taxis

Le 24 juin est décédé un prêtre de l’Œuvre. Ma Mère a voulu aller au funérarium le 25 dans le courant de l’après-midi. N’ayant pas de moyen de transport, nous avons décidé de prendre un taxi lorsque nous avons vu arriver une dame, avec deux enfants, chargée de paquets qui attendait un taxi au même endroit que nous. J’ai donc prié saint Josémaria de nous envoyer deux taxis le plus vite possible, en la veille de sa fête. Je n’avais pas encore terminé la prière lorsque je vis arriver les deux taxis.

Espagne

25 juin 2005

Chemin ne m’a plus jamais quitté

Dès que j’ai connu Chemin, j’ai eu envie de me le procurer. Un beau jour je l’ai acheté en le payant très cher car c’était une édition originale espagnole. J’ai fait un gros effort : en effet j’avais besoin de cette somme pour me nourrir. Sur le chemin de retour à la maison, j’ai trouvé par terre un billet, le montant exact de l’investissement que je venais de faire. Chemin ne m’a plus jamais quitté, je ne me suis jamais séparé de ses considérations quotidiennes, puisque saint Josémaria m’avait déjà fait l’une de ses faveurs en me permettant de me le procurer gratuitement… Jorge

J.B.F., Argentine

23 juin 2005

Le premier miracle

En cette période autour de la fête de saint Josémaria, je me souviens du premier miracle qu’il m’accorda. On m’avait invité à travailler dans une promotion rurale organisée à partir d’un Centre de l’Opus Dei. Cette activité sociale allait durer plus d’une semaine, très loin de chez moi et sans possibilité de communiquer avec mes parents. J’étais déjà étudiant, mais ma mère est assez stricte. C’était aussi la première fois que je quitterais la maison pour partir avec un groupe d’amis plus longtemps qu’un week-end. Je savais donc que je n’avais aucun espoir d’y être autorisé. Je devrais, en plus, lui demander de me payer le voyage et mes parents n’en avaient pas les moyens à l’époque.

Aussi ai-je prié saint Josémaria. Ma mère a touché une somme à laquelle elle ne s’y attendait pas et elle m’en a offert une partie tout en m’accordant sa permission. Depuis je n’ai jamais cessé de compter sur saint Josémaria, il peut vous accorder n’importe quelle faveur !

J.A., Philippines

18 juin 2005

Une semaine plus tard

J’ai prié saint Josémaria pour avoir le permis de conduire et tous mes documents en règle afin de pouvoir partir aux Etats-Unis. Une semaine plus tard j’ai tout reçu. Merci infiniment.

G.B.G., U.S.A

18 juin 2005

Tout à fait guérie

Quelqu’un de ma paroisse m’a remis une image de saint Josémaria. Tous les soirs, pendant trois mois, j’ai dit cette prière dans ma chambre en lui demandant d’intercéder pour la guérison de ma femme qui avait eu une grave hémorragie cérébrale. Elle est tout à fait guérie. Que notre grand Dieu soit loué pour nous avoir donné un si grand Saint.

A.A.J., Espagne

16 juin 2005-06-18

Des fiançailles chrétiennes

Chers amis, je suis plein de reconnaissance pour la grâce d’avoir rencontré ma fiancée, une fille extraordinaire, par la médiation de saint Josémaria Escriva.

Je m’appelle José Antonio, j’ai 27 ans. Il y a plus de deux ans, lors de la canonisation de saint Josémaria, je lui ai demandé d’intercéder auprès de Notre Seigneur et de Notre Dame pour que je trouve ma compagne, une jeune femme avec laquelle je puisse construire une famille chrétienne après des fiançailles chrétiennes, chose actuellement fort difficile. Je l’ai finalement rencontrée.

Elle est exceptionnelle, elle m’est d’un grand secours et je tâche de l’aider aussi. Je prie Dieu maintenant que, par l’intercession de saint Josémaria Escriva de Balaguer, il fasse grandir notre amour (un amour « dans le Christ ») et qu’il nous aide à surmonter les difficultés et à être toujours ensemble. Tout ce que je puis faire aujourd’hui, en témoignage de ma reconnaissance, c’est de vous communiquer cette grâce reçue par son intercession et de vous prier de la publier. Fraternellement, José Antonio.

J.A.J.R., Espagne

13 juin 2005

En effet, la porte était encore ouverte

Le 17 mars 2005, j’allais de Manille à Los Angeles avec ma fille Vina. Nous avons fait une escale de 40 minutes à Hong-Kong où l’on m’a remis un message me demandant de me rendre au hall de l’aéroport. L’écriture m’était familière : il s’agissait de ma grande amie Peggy !

Nous n’avions pas beaucoup de temps pour nous voir, et nous nous sommes précipitées au comptoir de l’immigration en parcourant le hall pour aller la retrouver. De grandes accolades, émues. Nous avions déjà projeté jadis de nous trouver mais ce ne fut pas possible. Quelle surprise que de la voir ce jour-là. 40 minutes sont décidemment fort courtes pour deux amies qui ne se sont pas vues depuis dix ans et qui se vouent une profonde et longue amitié. Le temps s’est vite écoulé et Peggy nous a fait remarquer qu’il nous fallait reprendre notre avion. J’ai réalisé alors que je n’avais que cinq minutes avant le décollage. L’employé de la compagnie Catay a appelé l’équipage qui n’a pas pu lui assurer qu’ils attendraient.

J’étais très énervée, mon amie de même. Mais elle m’a remplie de confiance et me poussant vers la porte d’embarquement, elle était sûre que nous y arriverions. J’ai prié tout en courant avec ma fille vers cette porte. Elle était encore ouverte, il y avait encore quelqu’un derrière nous à vouloir accéder à l’avion. On a fermé le vol après notre passage.

En prenant ma place dans l’avion, j’ai remercié Dieu. Je savais que mon amie Peggy avait prié avec force que, par l’intercession de saint Josémaria, nous ne nous rations pas l’avion. Je ne pouvais que remercier saint Josémaria pour son intercession et pour sa réponse à cette prière.

Severina S.Parayaoan, Bermuda

11 juin 2005

Il s’est passé quelque chose de grandiose

J’ai confié mon père à saint Josémaria : il avait une pancréatite aiguë et les médecins ne nous donnaient plus d’espoir, l’hémorragie avait tout atteint. De plus, à ses 74 ans, c’était gravissime. J’ai appelé plusieurs amies pour qu’elles appuient ma prière, qu’elles m’aident à accepter la volonté de Dieu que je priais pour qu’il lui accorde de se confesser et de recevoir l’onction des malades. Tout s’est très bien passé et Dieu m’a permis d’en jouir encore un peu plus puisqu’il est toujours parmi nous et que le médecin m’a dit : « Je ne crois pas aux miracles, mais il s’est passé quelque chose de grandiose. » Merci Saint Josémaria, aujourd’hui mon père va recevoir la Communion, il n’a pas pu le faire avant puisqu’il ne commence que maintenant à ingérer des aliments. Merci encore.

E.S.O. Pérou

8 juin 2005

Dimanche dernier

Saint Josémaria m’accorde beaucoup de faveurs parce que je lui en demande beaucoup tout au long de la journée. Dimanche dernier, par exemple, il m’a accordé la grâce suivante :

J’avais des billets pour aller à l’opéra avec une amie. J’ai invité une troisième amie à venir avec nous mais arrivées au guichet, il n’y avait plus de billets. Je m’en étais doutée c’est pourquoi j’avais dit deux fois la prière à saint Josémaria pour lui demander instamment de procurer un billet à mon amie et pour que l’opéra nous plaise. Celle-ci a attendu un petit peu au guichet espérant que quelqu’un viendrait rendre son billet. Ce fut le cas. Cette personne ne tenait pas non plus à ce qu’on la rembourse mais mon amie a insisté et elle lui a tout réglé. De plus, l’opéra nous a beaucoup plu.

Mara Emilia Cebrian Hernandez, Espagne

31 mai 2005

Saint Josémaria est vraiment des nôtres

Il y a déjà quelques années que j’ai ce travail. J’avais beaucoup de mal dans mes rapports avec une dame. J’ai demandé à Josémaria de faire en sorte que la situation évolue et le lendemain cette personne a changé visiblement d’attitude. Je lui en ai été très reconnaissant.

À un moment donné, ma femme, qui attendait notre second enfant, a été prise de peur à l’idée de l’accouchement. Elle voulait une césarienne et tout fut préparé pour cela. Cependant, les choses ont été si rapides que l’enfant est né normalement, sans aucune complication, alors qu’on en avait prévu.

Je n’oublierai pas non plus cette autre faveur : j’ai été très stressé ces temps-ci parce qu’un de mes locataires ne m’avait pas réglé son loyer et je n’arrivais pas à le joindre (en fait, l’histoire est très compliquée). J’étais épuisé, à bout de nerfs. J’ai encore prié saint Josémaria et le Pape pour trouver une issue. Ce jour-là, en arrivant au bureau, j’ai trouvé un message de mon bailleur : il avait dû s’absenter et promettait de payer les loyers en retard dès le lendemain. Josémaria est vraiment des nôtres, il écoute nos prières et prend grand soin de nos soucis.

I.F., Etats-Unis

25 mai 2005

Notre premier enfant

Le 16 novembre 1986, l’après-midi était doux et calme. Ce jour-là ma femme devait se rendre à l’hôpital pour accoucher de notre premier enfant.

Vu notre situation financière précaire, l’accouchement devait avoir lieu dans un hôpital ayant peu de conditions matérielles. Notre enfant s’est annoncé vers 20 h 20 et malheureusement le changement d’équipe devait intervenir à 21h.

À 21 h10 le temps de l’accouchement était révolu. Un médecin honnête, au vu de cette situation, est venu encourager ma femme et les soignants à faire un premier et dernier effort avant de se servir des forceps. Le personnel n’avait plus d’espoir : on allait accueillir un enfant atteint de paralysie cérébrale. Mon épouse pensa tout de suite à l’immense souci de saint Josémaria pour nous, elle le pria et la miséricorde de Dieu inonda les lieux.

Aujourd’hui, mon enfant est en bonne santé, c’est un brave garçon, un excellent étudiant. Il semble avoir un certain penchant pour la vie religieuse. Je vous demande de prier pour lui, afin que, si telle est la volonté de Dieu, il puisse trouver sa voie dans la vie consacrée.

Luis Avalos, Mexique

11 mai 2005.

Ne nous laisse pas tomber maintenant.

Ma petite dernière, sur son vélo, jouait avec ses frères et sœurs et avec une amie. Ils lui ont fait peur et elle est tombée sur la tête. Elle n’a pas perdu connaissance, mais elle était toute étourdie et avait mal partout. Nous ne savions pas où elle s’était cognée parce qu’elle montrait toute la tête lorsque nous lui demandions où elle avait mal. Le centre de soins le plus près de chez nous était un dispensaire. Une fois en voiture, elle a commencé à vomir durant tout le trajet. J’ai crié : « Père,» L’hôpital le plus proche était à 100 km. Au dispensaire on voyait déjà la bosse, et, n’ayant rien trouvé d’autre, ils nous ont laissé partir. Le lendemain la bosse avait disparu et elle n’avait qu’un tout petit peu mal à la tête.

M.R., Espagne

6 mai 2005

Un travail fixe

Ma sœur Liliana n’avait pas de travail et sa famille en souffrait grandement. J’ai fait une neuvaine à saint Josémaria et ai déposé ce souci dans les mains de Dieu. J’ai prié pour sa vie, son foyer et son travail. Dieu merci, l’intercession de saint Josémaria a permis que ma sœur résolve sa situation : elle a trouvé un travail fixe. Nous rendons grâces à Dieu pour cette intercession des saints.

Oscar Javier Chicuazuque Gil, Colombie

5 mai 2005

J’ai pu enfin décrocher de la drogue

J’avais 18 ans lorsque mon père me remit la prière au serviteur de Dieu Josémaria Escriva. J’ai donc fait très vite sa connaissance. Par la suite j’ai lu son livre Chemin et, avec l’Évangile, ils ont changé ma vie. En effet, j’étais plongé dans les vices de la drogue et de l’alcool. En 2003, le mercredi des cendres, je suis allé me confesser et Dieu m’a exaucé : j’ai pu enfin décrocher de la drogue.

Ainsi va la vie et tous les jours lorsque je dis mon chapelet, après chaque mystère je dis la prière à saint Josémaria Escriva de Balaguer et la prière à mgr Alvaro del Portillo. Je m’occupe maintenant d’assister les malades atteints de cancer en phase terminale et je leur donne la prière à mgr Alvaro del Portillo. Je demande à Dieu que par l’intercession de notre Père, don Alvaro soit déclaré saint.

V.H.R.C. Mexique

4 mai 2005.

J’ai fait la connaissance de saint Josémaria à l’aéroport

Chers amis, à 55 ans, marié à une surnuméraire, j’ai fait la connaissance de saint Josémaria à l’aéroport de l’Aurora, au Guatemala, en 1974. Né en Castille (en Espagne), j’ai connu l’esprit de l’Opus Dei en 1957, lorsque je participais au programme de TVE (Télévision espagnole) où le père Jésus Urteaga m’a personnellement remis un « sidérocasque »…

Par la suite je me suis mieux informé auprès de ma tante Concha Aycinena, au Guatemala. Chaque fois que j’allais lui rendre visite, elle me lisait des passages de Chemin. Un jour, il y a fort longtemps, elle me fournit tous les renseignements nécessaires pour faire une retraite spirituelle à Altavista.

[…]

En 1973, j’ai rencontré Maria Eugenia, devenue mon épouse. Surnuméraire depuis ses 17 ans et elle m’a été d’un grand secours dans mes périodes de crise […]

Dans les années 80, j’ai eu l’occasion de recevoir une formation en tant que coopérateur au centre Balanya, et j’ai eu la chance de rencontrer le docteur Ernesto Cofiño, dont le procès de béatification est déjà ouvert […] J’ai aussi eu l’occasion de bénéficier de la direction spirituelle de prêtres de l’Opus Dei.

Tous les films, réunions, triduums, livres de saint Josémaria nous sont familiers.

Aujourd’hui nous sommes les administrateurs de plusieurs sites web internet en contact avec Rome. Catholiques convaincus, avec des hauts et des bas, le regard rivé sur le ciel et les pieds sur terre, malgré les difficultés, les maladies, etc, nous sanctifions nos tâches ordinaires, en sanctifiant les autres et sans perdre l’occasion de parler de Dieu et de défendre l’Église et le Pape.

Tout cela grâces à l’éducation de base reçue chez les Frères des Écoles Pies de Donoso Cortés, à Madrid, ainsi que chez les jésuites au Lycée Xavier et à l’Université Rafael Landivar, ignacienne.

J’aimerais que ce témoignage soit utile à la diffusion du travail de l’Opus Dei dans le monde.

I.F.J Sagone Aycinena, Guatemala

29 avril 2005.

Je savais bien qu’il était un homme de Dieu

Il y a 16 ans, un ami m’a donné un bulletin d’information sur le fondateur de l’Opus Dei. J’ai beaucoup apprécié sa lecture et les témoignages à travers lesquels j’ai connu l’Œuvre et ses idéaux.

Mis à part cela, je n’avais aucun contact avec les membres de l’Opus Dei. En effet, mon ami ignorait qui lui adressait ce bulletin d’information. Je n’étais plus très jeune lorsque j’ai voulu entreprendre des études à l’université. Le jour de mon examen d’admission à la faculté, j’avais sur moi une photo du Père saint Josémaria Escriva, parce que je sentais qu’en le regardant, il me réconforterait en cette épreuve où je n’étais pas rassurée, puisque cela faisait 20 ans que j’avais abandonné les études. Je sais que c’est grâce à son intercession que j’ai réussi et grâce à son aide que j’ai mené à bout mes études. De ce fait, sa canonisation fut une grande joie pour moi, parce que je savais bien qu’il était un homme de Dieu. Merci, Père Josémaria : je vous dois ce que je suis et toutes mes réussites.

Leda Emilia, Mexique

28 avril 2005

Nous n’avons rien eu

Il y a plus de deux ans, en voiture, très tard dans la nuit, nous roulions sur un passage à niveau lorsque six individus fortement armés nous ont barré la route, jetés dans un autre véhicule, menacés et insultés. Séparés, mon ami et moi, nous pensions tous les deux à saint Josémaria parce que l’après-midi nous étions sortis pour acheter des livres sur lui. J’étais terrorisée, mais tranquille en pensant aux « Pas sur la neige »… Après dix minutes, à peine, ils nous ont relâchés et nous n’avons rien eu. Ils nous ont même rendu notre voiture.

Vanessa Ron

26 avril 2005

Tout a été réglé en 20 jours

En tant que catholique, j’ai toujours été sûr que la lumière de notre Saint-Père éclairerait ma route. À un moment donné, les problèmes sont devenus fréquents dans ma vie, voire quotidiens. Un ami m’a conduit vers l’Opus Dei et dès lors, saint Josémaria, bienheureux à l’époque, commença à me montrer le nord. Je lui ai confié mon problème professionnel, ainsi qu’à notre défunt Jean-Paul II. Tout fut réglé en 20 jours. Mes chers frères, appuyez vous sur la foi, sur une grande foi, parce que saint Josémaria veille toujours sur nos besoins et sait intercéder auprès de notre Seigneur Jésus-Christ.

Unis dans le Cœur de Jésus et de Marie

Affectueusement, Walter

Walter Alejandro Flores Saraiva, Argentine

22 avril 2005.

Au ciel, il intercède toujours pour nous

J’ai connu l’Opus Dei et les ouvrages de son fondateur lorsque j’avais 14 ans. J’avais besoin d’une bonne note à l’examen d’Histoire, j’ai demandé à Dieu de me l’accorder par l’intercession de saint Josémaria (qui n’avait pas encore été canonisé) et je l’ai eue.

Par la suite je suis devenu ingénieur et j’ai eu un bon travail grâce aussi à mes demandes à Jésus par l’intercession de saint Josémaria.

Aujourd’hui, j’ai la paix et la joie, dans l’assurance que saint Josémaria intercède toujours pour nous au ciel. J’aimerais recevoir des renseignements sur la procédure à suivre pour devenir un fidèle de la prélature, si j’en étais digne, et pour porter les enseignements de saint Josémaria à mes proches.

Que Dieu vous bénisse tous, vous comble de grâces pour que vous continuiez toujours à réaliser la mission de saint Josémaria.

Rodrigo Oliveira da Silva, Brésil

16 avril 2005.

Un chauffeur de taxi m’a remis l’image

J’ai pris un taxi pour aller de mon travail à la maison et le chauffeur m’a remis l’image de Josémaria Escriva. Mon neveu Léonardo est tombé malade, atteint d’une broncho pneumonie. De plus, il était tombé et avait reçu un coup très fort sur la tête : ceci pouvait entraîner une méningite.

Ce bébé n’avait que 7 mois et moi je demandais que son état de santé ne se complique pas. Le coup à la tête n’a pas eu de conséquences et sa broncho pneumonie est en bonne voie de guérison. Il est encore en soins intensifs mais je rends grâces déjà à celui qui l’a soulagé et qui a fait ce miracle

Maria de la Luz

10 avril 2005

J’ai assisté à une projection sur saint Josémaria

« Remonte-toi devant l’obstacle. La grâce de Dieu ne saurait te manquer… » (Chemin, n° 12)

Je suis praticien psychologue à l’Université Catholique d’Argentine. J’ai vu, pour la première fois, l’image de saint Josémaria en 1977, lorsque l’Œuvre se répandait en Argentine. J’avais lu des bulletins d’information à la résidence d’étudiants. Je ne savais rien sur lui et cependant j’ai prié à l’aide de cette image et appris Chemin par cœur lors de mes études de psychologie que j’ai toujours réussies, non sans avoir rencontré de nombreux obstacles — j’ai fait mes études à San Juan alors que ma famille habitait Buenos Aires — mais malgré tout je me suis spécialisée à l’UCA de Buenos Aires. C’est à l’Institut Universitaire Aéronautique que je poursuis en ce moment des études de gestion et administration, par correspondance. J’ai été victime d’un myome-fibrome géant et la chirurgie m’a sauvé la vie de justesse. Dans toutes les circonstances de ma vie, depuis mes 18 ans alors que j’en ai 43, saint Josémaria a été à mes côtés. C’est mon premier témoignage. Je n’ai jamais douté de l’efficacité de saint Josémaria. N’ayant jamais auparavant assisté à une projection sur lui j’en suis sortie toute retournée : saint Josémaria !

J’ai donc cherché cette page, vous ai écrit et depuis vous m’accompagnez virtuellement. La boucle se referme ainsi pour moi, à moins que tout ceci ne soit qu’un début. Merci !!!

Lili, Argentine

11 avril 2005.

Il a veillé sur mon portefeuille

Josémaria vient aujourd’hui de m’accorder une faveur. Je suis allée avec ma famille au marché pour y acheter des vêtements, nous avons fait nos choix et au moment de régler je n’avais plus mon portefeuille dans mon sac. J’ai d’abord pensé qu’on me l’avait volé, chose probable, étant donné la quantité de gens qu’il y avait et les bousculades. Puis j’ai pensé qu’il était tombé en sortant de la voiture ; si c’était le cas, je ne le retrouverais sans doute jamais. J’ai tout de suite eu recours au Père. Et bien oui ! saint Josémaria avait veillé sur mon portefeuille que j’ai retrouvé entre ma voiture et celle d’à côté : il attendait que nous venions le prendre. J’ai toujours une petite médaille du Père dans mon portefeuille. Merci, saint Josémaria !!!

Marisa Antonucci Argentine

10 avril 2005.

Il m’aide dans les grandes et les petites choses

Le 18 décembre 2004, on m’a diagnostiqué des myomes utérins. Cela m’a stressée car le médecin qui s’est occupé de moi m’a dit, dès le départ, qu’il fallait m’opérer pour une ablation de l’utérus et, si besoin, des ovaires. Je ne pourrais jamais avoir d’enfants. J’ai laissé passer deux mois et début février j’ai eu de fortes douleurs pendant toute la journée. J’ai demandé un nouveau rendez-vous médical. Le docteur a dit à ma mère qu’il fallait intervenir, mais le coût de l’intervention était très élevé et nous n’avions pas cette somme. J’ai donc décidé d’aller à la clinique de la sécurité sociale où, le 8 février, j’ai subi des examens : écographie et bilan général, À cette écographie on perçoit quatre myomes, le médecin les a vus et m’a demandé de refaire une nouvelle écographie le 11 mai.

Dans l’angoisse, ma mère et moi avons consulté un autre médecin. Je priais Notre Seigneur depuis le mois de décembre et faisais ma demande par l’intercession de saint Josémaria qui nous a déjà accordé beaucoup de faveurs, à ma famille et à moi. Le 4 mars, après les quatre précédentes, j’ai fait une dernière écographie. Le diagnostic était toujours le même : myomatose utérine. C’est à la dernière que le Seigneur est intervenu : on n’a trouvé aucun myome. À la fin de l’échographie, le médecin s’est approché pour voir ce qu’on percevait. La personne qui l’avait faite lui assura qu’elle n’avait rien vu. J’ai quitté la salle et les résultats m’ont été remis quelques minutes après. Ma sœur Ana m’attendait dehors. Je suis sortie pour lui dire que je n’avais plus les myomes. Elle n’a rien dit. En effet, à l’échographie on n’en voyait plus. Je l’attribue à l’intercession de saint Josémaria Escriva que j’aime tant et qui m’aide aussi bien dans les grandes choses que dans les petites.

Maria Teresa Fuentes Salinas, Mexique

9 avril 2005.

Victime d’un escroc professionnel

J’ai mis sur pied ma propre affaire, après de gros efforts pendant de nombreuses années. Il y a quelques mois j’ai été victime d’un escroc professionnel qui s’est approprié de tout mon argent, sans que j’aie la possibilité de le récupérer. Je pensais que tout était perdu et que la ruine financière était inévitable. J’ai prié saint Josémaria. Il m’a exaucé et j’ai tout récupéré en quelques jours, de façon inattendue.

Federico Bravo, Espagne

8 avril 2005.

Notre Pape, père et pasteur

J’espère que cette Pâque sera un temps de résurrection pour tous, que ce temps pascal sera la renaissance de tout ce que nous avons tendance à oublier au fil des jours : l’amour, la paix, l’espérance, la générosité, la gratitude, le don de nous-mêmes au prochain.

Malheureusement nous avons perdu notre Pape, pasteur et père, mais par-dessus tout nous devons penser à lui comme au fils de Dieu qui est parvenu au terme de son projet.

J’avoue que lorsque j’ai vu Jean-Paul II, j’ai compris qu’il était plus qu’humain : le don de soi, la solidarité, le dialogue, à côté de ses faiblesses, de ses souffrances, de ses moments de tristesse.

Je prie pour qu’en ce moment où le monde est attentif à cette nouvelle étape de l’Église, nous puissions tous être des agents de paix, des messagers de l’espérance et des relais de l’amour.

Que Notre Dame, Mère de Dieu, intercède pour le Pape au ciel.

Que l’Esprit Saint déverse ses dons sur nos cardinaux qui pensent à notre futur père spirituel.

Que Dieu nous accueille toujours à bras ouverts. Amen

Tiago Cardoso da Silva, Brésil

5 avril 2005.

À des moments difficiles et sans espoir

Il y a quinze ans, un ami m’a donné un bulletin sur l’Opus Dei avec une prière à saint Josémaria. Au fil de ces années, dès que j’ai traversé des moments difficiles et sans espoir, je me suis remis à cette prière. J’ai toujours senti une grande consolation après l’avoir dite et mes prières ont été toujours écoutées par saint Josémaria qui m’a accordé beaucoup de grâces durant toutes ces années.

Mauro Augusto Gomes, Brésil

7 avril 2005

J’ai énormément changé

Saint Josémaria m’aide un jour après l’autre. Il me semble que cela fait des années lumière que j’ai connu son message. J’ai changé, j’ai énormément changé. Le bien engendre le bien. Saint Josémaria m’a appris à vivre ma

J’ai réussi le concours d’entrée en Médecine

Je suis de condition modeste en cette République. J’ai réussi le concours d’entrée en Médecine à l’université de la capitale en 2002. En surfant sur internet, j’ai trouvé cette page et tout m’a encouragé à chercher dans la prière ce dont j’avais besoin pour me battre et arriver à avoir un poste : nous étions 2.500 candidats pour 200 postes. Grâce à ces prières, j’ai réussi et la résidence Entremares m’a contacté. Je ne savais pas que l’Opus Dei avait un foyer d’étudiants au Panama et au départ je pensais que c’était un canular. Mais je m’y suis rendu et j’y ai passé les deux années les plus formidables de ma vie. J’ai eu le bonheur d’assister à la canonisation de notre fondateur. Depuis, je visite votre site très fréquemment. Voilà pour ce qui est du contact avec internet, de la prière et de mon séjour à la résidence. Je ne l’avais jamais raconté, mais je sais, au fond de moi-même, que ce fut grâce à saint Josémaria que j’ai intégré l’Université et que j’ai pu faire les études que j’aimais.

Carlos, Panama

2 avril 2005

Cette image ne l’a pas quitté une seconde

Il y a un an, le 24 mars, mon mari a eu un infarctus cérébral. Le diagnostic était accablant, la zone du langage était touchée. Une amie m’a offert un chapelet et une petite image de mgr Escriva qu’elle avait déposée sur sa tombe. Elle n’a pas quitté une seconde Fernando, mon mari et nos enfants ont toujours prié saint Josémaria. Un an après l’accident, Fernando est remis à 100%. Il est comme avant. Les médecins pensent qu’on ne peut pas parler de miracle, mais pour nous, pour ceux qui l’ont entouré, c’en est bien un. La semaine prochaine il va passer une IRM de contrôle et nous prions saint Josémaria pour que tout aille bien.

Magdalena Walker Mena, Chili

1er avril 2005.

Dire toujours « oui » au Seigneur

Je tiens à apporter ici mon témoignage, mon immense reconnaissance à saint Josémaria. C’est grâce à lui qu’il y a aujourd’hui dans le monde des milliers et des milliers de personnes qui se préoccupent inlassablement de ceux qui les entourent, qui sont aux petits soins dans les détails de la vie courante, qui vous aident à sourire, à être à l’aise, à vous approcher de Dieu notre Père, à l’aimer de plus en plus. J’ai 17 ans et j’ai vécu une semaine merveilleuse au sanctuaire de Torreciudad, où il y a tant de prêtres au service des fidèles. Dans cette ambiance de famille, j’ai pu m’approcher davantage de Dieu, j’ai profité de journées inoubliables. Si saint Josémaria n’avait pas toujours dit « oui » à l’appel de Dieu, rien de tout cela ne se serait passé, rien n’existerait. Nous lui devons tant de choses que j’ai recours à lui pour qu’il nous aide à être ouverts au souffle de la grâce et à savoir toujours dire « oui » au Seigneur, à réaliser notre mission dans la vie. Merci saint Josémaria.

Matt, Espagne

31 mars 2005

Mes années d’étudiante

J’ai rencontré l’Opus Dei lorsque j’étais étudiante et assisté à de nombreuses rencontres de jeunes, dont j’ai retenu des homélies que j’ai gravées dans mon cœur. Puis, j’ai été « éloignée » de saint Josémaria suite à déménagement dans une autre ville où j’ai commencé à travailler et formé une famille. En 1994, j’ai eu une lésion à l’utérus pouvant être cancéreuse et j’ai été prise de désespoir. Le hasard, ou la providence, a voulu qu’en classant de vieilles affaires, je retrouve la prière à saint Josémaria. Je lui ai demandé d’intercéder pour ma santé. Durant les trois mois de traitement décisifs, je l’ai prié avec beaucoup de foi et je suis en rémission. Depuis, je dis cette prière, tous les jours, en demandant spécialement la santé pour ma famille et pour les malades que je connais ainsi que bien d’autres faveurs. Voilà donc mon témoignage qui s’ajoute, je l’espère, aux milliers de ceux qui ont contribué à la canonisation de mgr Escriva. Ces deux ou trois dernières années j’ai été atteinte de plusieurs maladies, souvent graves. J’ai toujours confié ma santé à saint Josémaria et jsuis tout à fait convaincue que je les ai surmontées grâce à sa médiation. Je puis aussi assurer que je lui ai demandé de m’éclairer dans des situations dures et qu’il m’a beaucoup aidée. Aujourd’hui, je viens de subir des contrôles médicaux pénibles et je sens le besoin de redonner mon témoignage. Je n’ai aucun doute sur son intervention et suis prête à continuer de lui adresser ma prière tous les jours de ma vie.

N.F., Argentine

31 mars 2005.

Radio Horizonte

Je vous écris de Radio Horizonte, https://www.radiohorizonte.org/— radio catholique qui ne transmet qu’en ligne, 24h/24h afin de diffuser l’Évangile —, pour vous dire que le 4 septembre 2004 nous sommes allés à Torreciudad pour consacrer à Notre-Dame ce nouvel émetteur et vous annoncer que Chemin, le premier livre de saint Josémaria, a toute sa place dans nos programmes quotidiens. Le programme « Camino » est en direct chez nous tous les jours de 12h15 à 13h30 et de 18h15 à 18h30. Chemin a un style direct, au dialogue serein et nos auditeurs sont placés face aux exigences divines dans un climat de confiance et d’amitié. Nous espérons que notre travail sera une aide spirituelle pour tous nos visiteurs et nos auditeurs.

Martha et Paco Arreola. Espagne.

Un bon fiancé

L’an dernier, une amie m’a offert une petite image de saint Josémaria. Nous avons commencé une neuvaine pour qu’il nous aide à trouver un bon fiancé : célibataire, catholique, travailleur, aux bonnes mœurs. Nous aimons beaucoup, toutes les deux, Notre Dame de Guadalupe. Et, voilà ! J’ai connu mon fiancé le 12 décembre : la Sainte Vierge et saint Josémaria l’ont mis à mes côtés, j’en suis sûre. J’avais commencé une neuvaine et c’est devenu une prière quotidienne. J’espère que très vite notre Vierge de Guadalupe et saint Josémaria vont aussi s’occuper de mon amie.

EVL., Mexique

24 mars 2005

Mon père était dans le coma

En 2002, mon père a été victime d’une rupture d’anévrisme au cerveau, ayant provoqué un accident vasculaire. C’était très grave. Il était à l’hôpital Paulistano. Les médecins nous préparaient au pire, mais nous n’avons jamais perdu la foi. J’ai demandé à un prêtre du centre culturel d’Etaim d’aller le voir à l’unité de soins intensifs.

Alors que papa était dans le coma, le Père Carlos a prié pour que, par l’intercession de saint Josémaria Escriva, notre demande soit exaucée et que le malade recouvre la santé. Dès le lendemain, toutes les nouvelles ont été bonnes et ce, jusqu’à son total rétablissement. Il est rentré chez lui au bout d’un mois et trois mois après, il a repris son travail. Je ne sais pas si je peux parler d’un miracle, mais je pense que lorsque nous prions avec foi par l’intercession de saint Josémaria, on est immédiatement écoutés.

Paulo Eduardo Nunes e Silva Brasil

22 mars 2005

Une situation familiale difficile

Saint Josémaria est bien connu dans ma famille depuis très longtemps. Moi je l’ai toujours prié. Nous sommes maintenant dans une situation familiale difficile. Et, ô coïncidence (pas si coïncidence que ça), j’ai trouvé une image sur mon bureau et j’ai décidé de faire une neuvaine pendant ce carême. Miraculeusement, tout s’est arrangé. Ce fut surprenant. J’ai promis que j’en témoignerais et que j’offrirais davantage d’images aux gens qui seraient dans la détresse spirituelle.

L.A., Mexique

20 mars 2005

Cours d’espagnol

Saint Josémaria a intercédé pour moi en tout ce que je lui ai demandé. La dernière fois je l’ai prié de m’aider à reprendre, dans la continuité, des cours d’espagnol au groupe qui m’avait embauchée deux ou trois fois. J’ai fait une neuvaine à saint Josémaria pour pouvoir continuer et pour qu’il me procure davantage d’heures de travail et d’élèves. J’ai retrouvé mon groupe avec une élève de plus. Ils m’ont demandé de reprendre les cours avec un horaire élargi.

Une dévote de saint Josémaria

Maria Luisa Silva Torres, Pays Bas

19 mars 2005.

Notre second enfant

Nous avons eu un deuxième enfant en novembre dernier. La grossesse s’était très bien passée mais au moment de l’accouchement les choses se sont sérieusement compliquées. Le médecin a fait tout ce qui était à sa portée, mais la situation était sans issue. Je suis médecin moi-même et conscient des complications et des risques mortels, je me suis mis au pied de la Croix et j’ai demandé à saint Josémaria d’intercéder pour nous.

Tout est rentré petit à petit dans l’ordre et quelques heures plus tard la page était tournée. Merci, saint Josémaria pour m’avoir aidé à aller de l’avant avec ma famille et à rendre témoignage dans ma vie courante.

J.G.O., Colombie

13 mars 2005

Ma carrière professionnelle

Dernièrement, j’ai traversé une mauvaise période de découragement n’ayant pas d’issue à mon orientation professionnelle.

Il y a quelque temps, j’ai décidé de demander à Dieu, à travers la prière à saint Josémaria, des faveurs dans ce sens. Peu de temps après, j’ai été sollicité pour faire cours à la faculté où j’avais obtenu mes diplômes. Depuis, je le remercie toujours pour la faveur accordée et lui demande d’être constamment mon guide dans ma vie professionnelle.

J.P, Argentine

13 mars 2005

L’impossible est arrivé

Bonjour ! J’ai fait la connaissance de saint Josémaria Escriva lors d’un moment d’oraison devant le Saint Sacrement, pendant ma pause déjeuner. Lorsque j’avais terminé, j’ai vu une dame et sa fille, assises sur un banc de l’église. Elle était argentine, résidente au Brésil et elle m’a donné un bulletin avec la prière : elle m’avait vue prier avec tant de dévotion qu’elle n’a pas pu s’empêcher de me donner cette information. Elle m’a raconté qu’à la naissance de ses jumelles, l’une d’entre elles était très faible, ses jours étaient en danger. Elle avait trouvé cette prière et demandé à saint Josémaria Escriva d’aider son bébé. La petite se remit, Dieu merci. Coïncidence, si vous le voulez, je suis moi aussi maman de jumeaux.

Je devais à ce moment-là passer un examen pour l’obtention d’un master et j’avais déjà échoué trois fois à l’épreuve d’anglais. Ce jour-là, de la main de ce Saint, j’ai senti que je pouvais compter sur lui et j’ai décidé de me présenter à une épreuve d’espagnol plutôt qu’à celle d’anglais. L’impossible est arrivé et j’ai réussi. Merci. J’ai voulu partager cette grâce en attendant d’autres.

Cristiana Pessoa, Brésil

8 mars 2005.

Neuf jours après

Fin septembre 2004, j’ai été opérée d’une rupture du tendon supra-épineux. Malgré un traitement et des séances de kinésithérapie, je n’arrivais pas à bouger mon bras et j’avais une douleur constante à l’épaule. En janvier, le docteur m’a dit que, si au bout de 15 jours, je ne récupérais pas une partie de la mobilité, il faudrait me réopérer. L’idée d’une autre opération m’a beaucoup pesé et j’ai décidé de commencer une neuvaine à saint Josémaria pour lui demander ma guérison, où l’acceptation de la volonté de Dieu dans le pire des cas. 9 jours après, je n’avais plus mal et ma récupération s’est faite en un temps record. Je voudrais le remercier pour cette faveur où son intercession est on ne peut plus claire.

Aurora Bellas, Espagne

1er mars 2005

Je lui ai demandé de changer le cœur de ce jeune homme

Je venais d’arriver à l’hôtel avec mon bébé qui allait être pris en charge à l’hôpital. Je lui ai donné son bain et en revenant dans ma chambre je n’ai plus trouvé ma trousse de toilette et ma montre bracelet. J’en ai immédiatement parlé à la responsable de l’auberge qui m’a dit que sans doute le garçon qui faisait le ménage et qui venait de partir, m’avait tout pris. Avec mon bébé, je suis allée, centre ville, dans une église où il y a un grand tableau de saint Josémaria. J’ai prié pour retrouver mes affaires mais surtout pour qu’il change le cœur de ce garçon et qu’il ne recommence plus. Avec ce système, il n’était pas prêt de trouver un emploi fixe. Ensuite je lui ai demandé encore des choses. Si elles me sont accordées, je vous écrirai aussi.

En rentrant à l’hôtel, je n’en revenais pas : la responsable me dit qu’ils avaient pu retrouver le jeune homme, dans cette ville si grande, et qu’il avait rendu ma trousse de toilette, mais que la montre n’y était pas. J’ai calmement accepté, et, à ma grande surprise, déjà dans ma chambre, j’ai trouvé ma montre sur le lit où je l’avais tellement cherchée. Saint Josémaria nous écoute, priez-le beaucoup pour tout. C’est arrivé le 21 février 2005.

Magaly Ampuero Arana

23 février 2005

Le chemin de ma vocation

Je rends grâces à Dieu pour les écrits de saint Josémaria Escriva qui m’ont illustré et encouragé sur la voie de ma vocation vers le Sacerdoce ministériel.

C’est aussi grâce à lui que, dans ma famille, nous nous sommes tous sentis pleins de présence de Dieu face à de graves problèmes. Quant à moi j’ai appris à croire davantage en l’Église comme corps mystique du Christ.

Oscar Javier Chicuazuque, Colombie

22 février 2005

Mes amis ont prié pour moi

Mardi dernier, dans l’après-midi, une ambulance m’a conduit à l’hôpital. Je souffrais énormément, et j’avais peur que ce ne soit une hernie. Aux urgences, j’ai été examiné par trois médecins qui ont décidé de m’opérer le lendemain matin. Mes amis ont prié pour moi à la réunion où j’aurais dû assister. Le lendemain, lorsque le spécialiste m’a examiné, je lui ai avoué que je ne souffrais plus du tout. Il m’a dit : « C’est bon, vous pouvez rentrer chez vous. »

P.B., Angleterre

18 février 2005

’étais à la dérive

Mes parents m’ont toujours encouragé sur le chemin de la foi et m’ont fait comprendre combien l’intercession de saint Josémaria était puissante. Moi, j’étais plutôt insouciant.

Puis, il y a eu le déclic. J’ai lu et relu Chemin. J’ai intensément prié la Sainte Vierge et le Père et à partir de là je me sens plus ferme, je suis conscient de n’être jamais seul. Dans mon travail, dans ma vie professionnelle, je sens constamment l’aide divine. Grâce à la prière et au regard de saint Josémaria Escriva, qui me regarde comme un bon père, je sais que rien ne saurait me manquer. C’est ce qu’il nous a appris : La Sainte Vierge vient au secours de l’enfant le plus faible, le plus malade, le plus démuni, le plus handicapé… parce que c’est lui qui a le plus besoin d’une caresse, de son aide.

A.P., Italie

15 février 2005

Nous avons signé le contrat de vente

Faveur reçue de saint Josémaria :

J’avais besoin de vendre mon appartement pour que l’emprunt de celui que j’ai acheté soit moins élevé. Nous avons trouvé un acheteur qui a fait marche arrière quelques jours plus tard. Nous étions dans une impasse financière. Une nuit, avec ma femme, nous avons commencé à dire la prière de l’image du Père. Le lendemain, une dame qui avait vu l’affiche « à vendre » accrochée à notre fenêtre, est montée pour visiter l’appartement qui pourrait intéresser son fils. Vendredi dernier nous avons signé le contrat de vente. Nous sommes convaincus que c’est une faveur du Père.

Rafael Carrillo Pozo, Espagne

14 février 2005

Sauvée de la mort

Le 21 décembre 2004, ma fille Rachel qui a cinq ans a subi un choc septique provoqué par une trachéite (inflammation de la trachée) bactériologique. Les médecins des urgences ont mis six heures à faire ce diagnostique et elle ne faisait qu’empirer.

Je suis coopératrice de l’Opus Dei et j’avoue qu’une demie heure avant le diagnostique je n’arrivais plus à prier. J’ai demandé à la Très Sainte Vierge et à saint Josémaria d’intercéder pour moi parce que je ne pouvais rien faire en ces moments si durs. Quelques minutes après, un médecin des soins Intensifs nous a dit qu’il s’agissait d’un choc septique.

Après ce diagnostique les moyens ont été pris pour stabiliser sa situation. Elle a encore vécu 12 heures dans un état critique. Son foie, ses reins ne fonctionnaient pratiquement plus, il a fallu la mettre sous assistance respiratoire. Tous nos amis ainsi que l’Aquinas Academy de Pittsburg, école de Rachel dont le directeur spirituel est un prêtre de l’Opus Dei, se sont mis à prier. On a prié aussi pour elle dans de nombreuses « chaînes de prière ». À Grandvue, centre de l’Opus Dei à Pittsburg, tout le monde priait saint Josémaria pour elle.

Après cette nuit critique ses organes fonctionnaient toujours. Le lendemain, les médecins ont eu la grande joie de me dire que chaque organe était « 100 percent fine » (en parfait état). J’ai appris par la suite qu’une amie avait demandé concrètement à saint Josémaria que Rachel soit « 100 percent fine », sans complications d’aucun type. Et c’est ce qui s’est passé. Trois médecins, au moins, ont assuré qu’il s’agissait là d’un ‘miracle’ : elle s’était très vite récupérée et, en plus, elle n’avait aucune séquelle. Noël était aux portes, j’ai demandé à saint Josémaria en m’appuyant sur la prière de l’image, qu’elle rentre à la maison à cette date. Elle aurait dû être hospitalisée au moins une semaine, et elle est arrivée chez nous l’après-midi du 24 décembre à 16h. Elle est en pleine forme, heureuse comme tout. Elle ne sait pas encore qu’elle a été l’objet d’un si grand miracle, mais elle l’apprendra très vite. Sans aucun doute, ce fut l’intercession de saint Josémaria qui l’a sauvée de la mort et qui l’a conduite jusqu’ici. Je n’ai pas de mots pour exprimer ma reconnaissance.

Terri Urvash, U.S.A.

10 février 2005

J’en remercie saint Josémaria

Une amie m’a donné la petite image de saint Josémaria. J’ai tout de suite commencé à lui demander de petites faveurs, concédées sur-le-champ. Ma demande principale concernait ma fille qui n’arrivait pas à trouver du travail : quelques jours après avoir terminé la neuvaine, cette grâce m’a été accordée. Depuis, je fais toujours cette neuvaine et j’en remercie saint Josémaria Escriva.

Silvia Gomez, Argentine

4 février 2005

C’était un homme de Dieu

Après avoir lu le livre « Fondateur de l’Opus Dei » d’Andrés Vázquez de Prada, j’ai profondément apprécié la façon qu’il avait de vivre dans le monde, sans se laisser corrompre, puisqu’il était un homme de Dieu.

Il est désormais mon modèle de sainteté. Je tâche d’être saint dans ma vie, je sais que c’est difficile, mais je pense à la Sainte Vierge et à lui parce qu’ils ont su surmonter tous les obstacles.

Tiago Cardoso da Silva, Brésil

4 février 2005

Loin de chez nous

Je suis du Paraguay. Je me suis mariée au Brésil, où j’habite depuis quelque temps. J’ai un fils. J’ai toujours eu une grande dévotion envers saint Josémaria qui n’a fait que croître lorsque j’ai eu un grave problème de santé : une tumeur à l’os provoquée par une fracture du col du fémur due à une chute dans mes escaliers. Ce fut très dur pour mon mari et pour moi, loin de chez nous et de nos familles. Je me suis tout de suite mise sous la protection de saint Josémaria et dès la première semaine mon mari, à travers des relations professionnelles, a réussi à me faire hospitaliser gratuitement dans une excellente clinique. La tumeur était bénigne et on m’a placé un clou. Mon bébé, Dieu merci, n’a pas souffert de mon absence, ma belle-mère s’en est fort bien occupée. Je suis encore aujourd’hui en phase de récupération, mais j’ai la certitude que sans l’intercession de saint Josémaria, je n’aurais peut-être jamais pu vous raconter cette histoire. Je pense que Dieu nous envoie des épreuves, mais y ajoute toujours la force nécessaire pour que nous puissions les surmonter.

Alice Aranda Peres,Paraguay

28 janvier 2005

Chacun a une mission personnelle

Grâce à Internet, j’ai eu accès, toutes les semaines, à la vie, aux enseignements, aux écrits et aux témoignages de saint Josémaria.

J’en savais peu et très peu de personnes de mon entourage le connaissaient. Mais la grâce de Dieu et sa Providence le voulaient ainsi.

Je suis toute étonnée de ce que fait le Saint-Esprit : il me donne la force, les mots et le discernement pour parler de ce saint. Je l’ai vérifié un peu partout : aux bureaux publics ou privés, dans les institutions de santé, dans mes réunions de famille, dans le bus, à la plage, à l’université. Je ne peux pas m’arrêter d’en parler et de distribuer ses images.

En ce moment, je savoure et médite Chemin. Son message est si fort, si pratique, si plein de sagesse que j’en suis remuée tous les jours. Je le porte avec moi pour ne pas perdre un seul instant

Je revois le n° 484 : « D’or ou d’acier, de platine ou de fer…, grand ou petit, délicat ou grossier…, sois un instrument.

— Ils sont tous utiles ; chacun répond à un usage qui lui est propre comme dans l’ordre matériel : qui oserait dire que la scie du charpentier soit moins utile que la pince du chirurgien ?

— Ton devoir est d’être un instrument.

Et le point n° 479 : Courage ! Toujours droit devant : Audace !!!

I.G. Panama

27 janvier 2005

Au point mort

Il y a deux jours j’ai passé un concours très dur pour obtenir mon certificat de Professionnel de Gestion de Projets. J’ai mis un an à m’y préparer à fond. Mais, les journées avant l’examen ce qui me semblait être une masse de connaissances sûres est devenue en moi un flot d’incertitudes, de confusion et de doutes. J’étais au point mort. Je pense que Dieu voulait bien m’envoyer cette épreuve pour balayer toute trace d’orgueil et d’autosuffisance. Sans hésiter, je me suis mis sous la protection de saint Josémaria et j’ai demandé l’aide de leur prière à mes amis et à ma famille. Au concours, les réponses sortaient, une par une, au fur et à mesure que j’abordais les questions posées. Les résultats ont été excellents mais j’accorde tout ce crédit au bon Dieu et à l’intercession de saint Josémaria.

H.R., Venezuela

27 janvier 2005

Toute sa vie au service de Dieu

Je pense qu’il ne serait pas juste que je taise la faveur qui m’a été accordée par l’intercession de Josémaria Escriva. Deux de mes meilleurs amis, religieux, m’avaient écrit pour me dire qu’ils allaient quitter leur ordre. L’idée que deux serviteurs de Dieu veuillent défroquer m’a peiné et j’ai souffert pour eux dans l’attente du jour où ils devaient quitter leur centre de formation. Je ne me souviens plus comment je suis arrivé sur internet et trouvé un site où les gens pouvaient écrire pour demander des prières pour des causes précises. Je l’ai fait pour demander que ces deux amis ne laissent pas tomber leur vie religieuse. Quelques jours plus tard, quelqu’un que je ne connaissais pas m’écrivit pour me donner la plus encourageante des nouvelles : il prierait pour moi, pour mon intention en demandant l’intercession de saint Josémaria. De ce fait, je n’ai plus perdu espoir.

Il y a de cela presque un an et demi. Ces jours-ci, je viens de recevoir l’heureuse nouvelle que mes frères religieux ont renouvelé leurs vœux et qu’ils persévèrent dans l’ordre où ils se trouvent. Je ne sais pas s’ils seront ordonnés prêtres un jour ou s’ils iront jusqu’au bout en étant de bons religieux jusqu’à leur mort. Je sais seulement que ces amis auraient dû quitter leur ordre et qu’ils y sont toujours. Si on a pu faire en sorte qu’ils y restent encore un an, grâce à la prière on peut obtenir qu’ils persévèrent toute leur vie au service de Dieu. Je ne connaissais pas Josémaria Escriva mais je ne mets pas en doute qu’il ait intercédé pour mes deux amis.

Je n’ai jamais fait de témoignage, puissé-je apprendre à en donner et à écrire davantage, parce que je ne mets pas en doute que grâce à l’intercession de saint Josémaria on obtienne les faveurs demandées.

J.Q.G., Bolivie

26 janvier 2005

Un intense amour de la Sainte Vierge Marie

Je suis très reconnaissant à saint Josémaria pour m’avoir aidé à trouver un travail. Je me suis approché de l’Opus Dei, j’ai connu sa vie et son œuvre et ma foi en a été raffermie. L’amour intense et l’admiration constante de la Sainte Vierge Marie fut l’un des plus importants enseignements reçus. Je puis assurer à toutes les personnes qui me lisent (croyantes ou pas) que la connaissance, la dévotion vouée à saint Josémaria et son aide inappréciable, sont en mesure de transformer radicalement notre vie personnelle.

Alejandro Pineda Meneses, Colombie

26 janvier 2005

N’hésitez pas !

Cela fait un an que Josémaria, le Père, est dans mon esprit et dans celui de mon époux. Nos vies ont changé, en mieux, dans le sens surnaturel du quotidien. Je croix que ses enseignements nous font devenir meilleurs. Je vous invite donc à vous intéresser à ce Sage saint Josémaria. N’hésitez pas !

Raquel Torrado, Espagne

25 janvier 2005

Je confie maintenant à saint Josémaria la conversion de ma famille

Saint Josémaria m’a accordé la faveur que je lui demandais tous les jours depuis des années. En novembre de l’année dernière, mon père a eu une hémorragie gastro-intestinale et a été hospitalisé d’urgence. Moi, je priais intensément saint Josémaria. Mon père a reçu une image du fondateur de l’Opus Dei, avec une relique qu’il a gardée sous son oreiller pour lui demander sa guérison. Il a recouvré la santé en moins d’une semaine et mon « miracle » a eu lieu : il s’est remis aussi de son addiction à l’alcool et au tabac, problème qui affectait profondément notre vie familiale. Je confie maintenant à saint Josémaria la conversion de ma famille.

J.A., Philippines

25 janvier 2005

La frayeur de sa vie

J’ai un collègue de travail qui a été très malade, victime d’arythmies. Il était découragé et sans envie de reprendre le travail. À l’époque, son épouse attendait un enfant. Il avait consulté la sécurité sociale et on lui avait fait deux électrocardiogrammes. Le docteur lui avait avoué qu’il n’était pas du tout bien et qu’il fallait qu’un spécialiste le voie pour un examen plus complet.

Son rendez-vous n’aurait lieu que cinq jours plus tard. Il sentait que le pouls était défaillant, battait la chamade pour s’arrêter après. Sur ces entrefaites, sa femme l’a appelé pour qu’il l’accompagne à la clinique. Il a pris sa voiture pour aller la chercher.

Quant à moi j’étais inquiet et j’ai commencé à prier saint Josémaria de les aider parce que je trouvais trop cruel que le papa puisse mourir à la naissance de son bébé. Mon ami conduisait donc sa voiture et il a vu un piéton qui traversait la rue. Il a freiné et calculé les distances par rapport au passage piétons. Mais, à la moitié de la rue, le piéton a décidé de reculer. À ce moment mon ami a pilé et a eu la frayeur de sa vie pensant qu’il venait d’écraser quelqu’un. Dieu merci, il n’en était rien. En arrivant chez lui, il a contrôlé son pouls et s’est aperçu qu’il était normal, que les battements ne s’arrêtaient plus. En même temps, il sentait que sa fatigue et son malaise habituels avaient disparu. Je pense que la peur qu’il a eue est l’œuvre de saint Josémaria qui a fait ainsi en sorte que son cœur reprenne un rythme normal. Jérôme est né deux jours plus tard et son papa se trouve en pleine forme.

Fabio Mejia Noreña Colombie

11 janvier 2005.

Un moment dur pour l’humanité entière

Hello ! Je suis R.P, d’Italie. Je vous avais écrit le 24 novembre dernier pour vous dire que six mois après, et grâce à l’intercession de saint Josémaria, j’avais pu rétablir le dialogue avec un ami avec lequel je m’étais disputé pour des broutilles. Je peux aujourd’hui vous faire part d’un autre miracle de notre Père, puisque la paix est rétablie et que notre amitié est comme avant. Je suis absolument sûr que sans l’aide de ce très grand saint je n’aurais jamais pu rien faire. Je remercie Dieu Tout-puissant et saint Josémaria qui se sont penchés sur mon cas, de petite envergure, comparé aux moments si durs pour l’humanité entière, avec les souffrances des gens au Sud Est Asiatique et d’autres qui meurent dans des guerres stupides ou qui souffrent de l’injustice des hommes. Merci de tout cœur, Père. Je n’oublierai jamais ce que tu as fait pour moi.

R.P. Italie

10 janvier 2005.

Du jour au lendemain

Vraiment, je ne sais pas par quel bout m’y prendre. Je connais l’Opus Dei depuis ma tendre enfance et dès que j’ai un problème j’ai recours à saint Josémaria et, dernièrement aussi, à Isidore Zorzano. J’écris tout ceci pour remercier le Père de toutes ses faveurs. Je vais vous en raconter une très grande. J’ai une entreprise avec un associé (mon frère). Il y a deux ans, nous traversions une situation très problématique et j’étais conscient que nos problèmes ne disparaîtraient pas, sans une aide du Ciel. Je devrais déclarer faillite avec les soucis économiques et familiaux qui en découleraient. À l’époque ma femme était au foyer et s’occupait de notre enfant. J’ai décidé alors de prier le Fondateur et de lui demander de m’aider à aller de l’avant. Après avoir prié avec foi, pendant trois mois, les choses n’avançaient toujours pas, elles empiraient plutôt. Je me suis découragé et j’ai arrêté de dire la prière de l’image avec autant de foi. Cependant, le 2 octobre 2002, avant de me mettre au lit, lorsque je disais, à genoux, mes trois Je vous Salue Marie, j’ai réalisé que c’était la date de la fondation de l’Opus Dei. Alors, sans avoir recours à l’image, j’ai demandé au Père quelque chose de pratiquement impossible et je l’ai remercié d'avance. Le 3, j’ai reçu un appel qui a fait que la situation se débloque, du jour au lendemain. À partir de ce jour-là, le Père est devenu l’associé d’honneur de mon entreprise.

Je tiens aussi à remercier Isidore Zorzano pour une récente faveur. Ma femme n’avait pas de travail à l’extérieur et elle a commencé à envoyer des c.v aux entreprises tout en priant Isidore. En moins d’un mois et demi, elle a trouvé un très bon travail avec un horaire fantastique qui lui permet de garder nos deux enfants pratiquement tous les après-midi. De plus, à partir de février, elle travaillera en alternance, ce qui dégagera encore trois heures par semaine, l’après-midi.

Juan Gonzalez, Espagne

7 Janvier 2005

Bonne pour la casse

Le jour de l’an, je me suis levé à sept heures du matin et suis allé dans la chambre de mon fils. J’ai constaté qu’il n’était pas rentré de la nuit et je l’ai appelé sur son portable. Il ne m’a pas répondu. Très préoccupé, j’ai commencé à dire la prière à saint Josémaria pour que mon fils n’ait pas d’ennuis. À 7h 35, il m’a appelé pour me dire qu’il venait d’avoir un accident, mais qu’il était bien. Je suis allé sur place. La voiture bonne pour la casse, mais, miraculeusement, mon fils était indemne. Ceci est arrivé après que j’aie demandé saint Josémaria de nous protéger. N’est-ce pas un miracle ?

G.S.Méxique

7 janvier 2005

Je n’avais jamais pensé qu’on me mettrait à pied

Je suis philippin et vis à Taipeh (Taiwan) depuis vingt ans. Avec un très bon profil professionnel, je n’avais jamais pensé qu’on me mettrait à pied. Or, ce fut le cas en mai 2003. Pour la première fois, j’étais au chômage. J’avais 43 ans et un cumul de dettes. L’épreuve s’est prolongée plus que de mesure. J’ai trouvé des emplois précaires, très courts, pendant 14 mois, jusqu’à ce qu’un ancien patron m’embauche à nouveau en juillet 2004.

Dans cette lourde épreuve, ma femme a perdu la foi en Dieu et la confiance en moi. En effet, elle s’était convertie au catholicisme avant notre mariage en décembre 1989 et n’avait pas de très solides bases doctrinales. Deux mois après mon licenciement, elle a commencé à paniquer et à me dire qu’il fallait que je retrouve vite un emploi. Elle n’allait plus à l’église en famille et avait tout à fait perdu l’espérance.

Jour après jour, je disais la prière de l’image de saint Josémaria et celle de don Alvaro del Portillo. Chaque fois que j’avais un entretien pour un poste je leur demandais d’intercéder pour moi, non seulement pour qu’on m’embauche, mais pour que je retrouve aussi la paix avec mon épouse.

À la mi-novembre 2004, j’ai eu un entretien pour un poste dans une banque européenne qui avait besoin d’un rédacteur de documents techniques. Pour être bref, on m’a embauché tout de suite, début décembre 2004 et j’ai pu rétablir l’harmonie dans mon foyer.

J’attribue, sans aucun doute, ces réponses du Seigneur à mes prières à saint Josémaria et à don Alvaro del Portillo. Je les remercie, Lui et ces deux saints pour m’avoir aidé à surmonter ces épreuves très dures de ma vie, à Taiwan.

R.L., Taiwan

1er janvier 2005

Elle est née un 9 janvier

Il y a 26 ans, par l’intercession de mgr Escriva, ma fille est née miraculeusement et en bonne santé. J’avais eu une grossesse à risque, très difficile. J’ai prié la Très Sainte Vierge Marie et de nombreux saints et ma fille s’est appelée Marguerite de Lourdes (grâce à Notre-Dame de Lourdes). Lorsqu’elle est née, je me suis adressée à tous ces intercesseurs pour leur demander de me faire savoir quel était celui qui avait intercédé pour nous afin de l’en remercier, toute ma vie durant : la vie d’un enfant n’a pas de prix. Le jour de la naissance de ma fille, une personne de l’Opus Dei est venue me voir, dans la soirée, (elle n’avait rien à voir avec la personne qui m’avait remis l’image de monseigneur Escriva pour que je le prie). Elle est arrivée dans ma chambre en disant : « Je viens embrasser l’heureuse maman qui a eu un bébé le jour de la naissance de mgr Escriva ». Ce fut le signe demandé. En effet, la naissance de ma fille avait un retard inexplicable. Le docteur nous avait assuré, à mon mari et à moi-même, que la fillette tenait à naître le 9 janvier. Dimanche prochain, si Dieu le veut, elle aura 27 ans.

Mais le miracle n’est pas fini. Ma fille, récemment mariée, est enceinte. Sa grossesse est aussi à risque et encore plus difficile que la mienne puisqu’à deux mois de gestation elle a eu une thrombose à la jambe qui l’oblige à rester allongée. Le bébé pousse bien, notre foi est grande. Le 17 janvier, à sept mois, le docteur pratiquera une césarienne. Nous continuons de prier saint Josémaria Escriva avec beaucoup de foi pour qu’il intercède pour nous auprès de Sainte Marie et que ma fille et mon petit fils s’en sortent le mieux possible.

Margarita Lafón de Carrasco. Mexique

4 janvier 2005

Deux problèmes résolus

Il y a quelques mois je vous avais écrit pour vous dire que saint Josémaria avait ouvert l’espoir d’une solution à mes deux problèmes. Je suis ravi de vous communiquer que ces deux affaires ont été résolues. J’en exprime ma profonde reconnaissance à saint Josémaria.

Entre temps, j’ai prié saint Josémaria pour lui demander de l’aide, très souvent, dans de petites et dans de grandes choses. Son secours est toujours immédiat : la biopsie de mon père a été négative. Moi, j’ai commencé à aller à la messe tous les dimanches et les problèmes que me posait mon nouvel appartement ont été résolus en trois jours.

Je lui demande de m’aider sur beaucoup de fronts et ce, tous les jours. Il me propose toujours une solution.

Pour tout cela, merci infiniment à Dieu et à saint Josémaria.

A.A., Portugal

3 janvier 2005