«C'est pourquoi, je ne me lasse pas de répéter que nous devons être des âmes contemplatives au milieu du monde, qui s'efforcent de transformer leur travail en prière». Saint Josémaria Sillon,497
«C'est pourquoi, je ne me lasse pas de répéter que nous devons être des âmes contemplatives au milieu du monde, qui s'efforcent de transformer leur travail en prière». Saint Josémaria
Réponse à l’une des 50 questions les plus fréquentes sur Jésus-Christ et l’Église par une équipe de professeurs d’Histoire et de Théologie de l’Université de Navarre.
Jésus a-t-il eu des petits frères, des demi-frères ou seulement des cousins ? Question qui alimente régulièrement de nombreux débats et des interprétations diverses, souvent erronées. La première partie de cet article traite de la réponse aux deux premières questions.
Parmi les évangélistes seuls Matthieu et Luc nous rapportent la naissance de Jésus à Bethléem. (cf. La question Jésus est-il né à Bethléem ou à Nazareth?)
8 questions-réponses de la Faculté de Théologie de l’Université de Navarre sur l’historicité et la doctrine concernant les événements que nous célébrons à Noël.
Il faut comprendre que la conception virginale de Jésus est une œuvre de la puissance de Dieu — car rien n’est impossible à Dieu (Lc 1, 37) — qui échappe à toute compréhension et à toute possibilité humaine.
Jusqu’au III siècle on n’a pas de nouvelles sur la date de naissance de Jésus. Les premiers témoignages des Pères et des auteurs ecclésiastiques en donnent plusieurs. Le premier témoignage indirect d’un 25 décembre pour la nativité du Christ est celui de Sextius Julius l’Africain, en l’an 221.
À qui se rapportent les expressions « frères de Jésus » ? Voici la suite de la réponse donnée par l'abbé Pégourier : ce sont probablement ses cousins ou parents proches, et assurément ses disciples.
L’exégèse moderne s’est demandé quel est le phénomène naturel qui a pu avoir lieu au firmament pour être interprété par ces hommes de façon extraordinaire. Les hypothèses sont essentiellement trois
Ce qui est vrai c’est qu’il coïncide avec les brutalités d’Hérode que nous rapporte Flavius Joseph : il fit que l’on noie son beau-frère Aristobule qui était devenu très populaire (Antiquités Juives, 15 & 54-56)