Nous avons alors attendu une autre heure. Les enfants commençaient à perdre patience. Je leur dis alors : « Si l’attraction n’est pas réparée dans cinq minutes, nous allons ailleurs.» Je me souvins alors de Toni, et je lui demandai de l’aide. Et effectivement, juste cinq minutes plus tard, le défaut était réparé. Nous sommes montés et nous avons pu participer au jeu. À peine étions-nous ressortis, l’attraction retomba en panne.
M.C. de R., Guadalajara (Mexique)